1 à la fois l’esprit et la matière, et risque, à la limite , de les priver de toute raison d’être efficace, — ainsi et parallèlem

2 révolution). Mais il y a plus. Tout travail qu’on limite à la nécessité d’assurer le minimum de vie se trouve condamné par là

3 que du régulier, c’est-à-dire de l’inhumain (à la limite ), et c’est encore à dire qu’une « science de l’homme » qui se veut pu

4 a raison même, déclare sa permanente crise et ses limites humiliantes. L’éternel est dans le présent, et non point dans l’intem

5 Homme, l’humanité parfaite de Jésus-Christ est la limite atteinte de la personne dans l’histoire, le fait extrême, le concreti

6 siècle : il est l’élément insécable qui marque la limite de décomposition d’un corps quelconque. Autrement dit, l’individu n’e

7 ce, il refuse de l’exercer, de l’engager dans des limites objectives. Il veut se garder pur, et reste virtuel. Il se croit maît

8 llusion provient d’une pensée qui se refuse à nos limites , faute parfois de les avoir assez sérieusement éprouvées, faute surto

9 homme est pécheur, et ne peut pas outrepasser les limites de sa condition. Qui veut faire l’ange — l’Homme nouveau — appelle la

10 ’on puisse attendre, c’est qu’ils le soient, à la limite , autant. Il me dira d’une voix que j’entends déjà : « Mais je n’ai ri

11 l’on constaterait alors ne serait en fait que la limite du pire désordre, et c’est la mort. Cas purement idéal bien entendu p

12 ; mais je sens bien qu’elles m’ont porté déjà aux limites du désobligeant : nous aimons trop nos illusions pour souffrir même q

13 nemi mortel ». Nous nous heurtons ici à l’extrême limite , à l’origine pure de la Passion, — mais du même coup nous sommes jeté