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risques peut la définir. Combien de seuils et de
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n’avons-nous pas forcés dans notre siècle — seuil de l’atome ou seuil
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a créé l’étatisme, lequel tend à rejoindre, à la
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, les despotismes de l’Orient ou de l’Antiquité, au point de vue de l’
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ans attardés mais honteux de la souveraineté sans
limites
des nations. En vérité, c’est la fédération qu’ils craignent, incapab
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se, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, dans les
limites
posées par le droit applicable à chaque domaine ». Or on ne voit plus
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conduire en pirate ou de vivre en vase clos. Ces
limites
décisives à la souveraineté ne sont plus posées par le droit, mais pa
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omplète, encore qu’elle doive connaître certaines
limites
. Le supranationalisme peut conduire à la création d’autorités régiona
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llement incapable : celui de la souveraineté sans
limites
, par exemple, qui est un des attributs de Dieu ; ou celui de l’éterni
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on de cette Question : elle nous juge et pose nos
limites
, qui sont celles du savoir humain, mais elle pose en même temps l’exi
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is il omet de les réfuter dans son rapport. 2. K.
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ses attaques contre Staline à ce qui s’est passé depuis 1934, et seul
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ler. Mais ce geste peut l’obliger à sentir qu’une
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est atteinte, à se demander, fût-ce un instant, s’il ne l’aurait pas
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monarque n’a rien au-dessus de lui qui le juge et
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son pouvoir : il sera donc dictateur absolu. Tout pouvoir, dans un mo
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ique) à tel point qu’on le voit se confondre à la
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avec la Société elle-même, encore qu’il soit le plus souvent symbolis
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. II. « Lolita » ou le scandale « Entre les
limites
d’âge de 9 et 14 ans apparaissent des fillettes qui, aux yeux de cert
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s formes limitatives s’étaient perdues toutes les
limites
et, comme ils ne percevaient plus aucune séparation, ni en eux ni dan
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: mesure, forme, grandeur, métamorphose, miroir,
limite
, sacrifice, chance, drame et tension, ne sont guère définis que par l
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rofonde, l’ultime, et le dirai-je, la pensée sans
limites
… Le zen suppose la dissolution, l’éclatement de tout le conceptuel.
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’est que l’un et l’autre se soucient davantage de
limites
que de causes. Et cette notion de limite, si importante pour lui, le
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tage de limites que de causes. Et cette notion de
limite
, si importante pour lui, le ramène à Rilke, dont il cite ce vers : S
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Vin. Ici, dit-il, plus de théâtre… Il s’agit de
limites
, d’abîme, de centre et d’absence de centre. Il s’agit également de la
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et d’absence de centre. Il s’agit également de la
limite
entre existence et poésie, ou de la poésie comme existence, ce qui do
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me, puis, oublie tout et peins. » (Problème de la
limite
entre existence et art, ou de l’art comme existence.) D’autres corres
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Le point où tombe la flèche, c’est le fini (sans
limites
). À la place de ce fini (sans limites) posons l’infini (la liberté) ;
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fini (sans limites). À la place de ce fini (sans
limites
) posons l’infini (la liberté) ; le but deviendra le sens. Mais la flè
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st la voie de Tristan. Sa passion veut aimer sans
limites
, au-delà des formes et du temps, au-delà du moi distinct et désirant,