1 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
1 risques peut la définir. Combien de seuils et de limites n’avons-nous pas forcés dans notre siècle — seuil de l’atome ou seuil
2 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
2 a créé l’étatisme, lequel tend à rejoindre, à la limite , les despotismes de l’Orient ou de l’Antiquité, au point de vue de l’
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
3 ans attardés mais honteux de la souveraineté sans limites des nations. En vérité, c’est la fédération qu’ils craignent, incapab
4 se, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, dans les limites posées par le droit applicable à chaque domaine ». Or on ne voit plus
5 conduire en pirate ou de vivre en vase clos. Ces limites décisives à la souveraineté ne sont plus posées par le droit, mais pa
6 omplète, encore qu’elle doive connaître certaines limites . Le supranationalisme peut conduire à la création d’autorités régiona
4 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
7 llement incapable : celui de la souveraineté sans limites , par exemple, qui est un des attributs de Dieu ; ou celui de l’éterni
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
8 on de cette Question : elle nous juge et pose nos limites , qui sont celles du savoir humain, mais elle pose en même temps l’exi
6 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
9 is il omet de les réfuter dans son rapport. 2. K. limite ses attaques contre Staline à ce qui s’est passé depuis 1934, et seul
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
10 ler. Mais ce geste peut l’obliger à sentir qu’une limite est atteinte, à se demander, fût-ce un instant, s’il ne l’aurait pas
8 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
11 monarque n’a rien au-dessus de lui qui le juge et limite son pouvoir : il sera donc dictateur absolu. Tout pouvoir, dans un mo
9 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
12 ique) à tel point qu’on le voit se confondre à la limite avec la Société elle-même, encore qu’il soit le plus souvent symbolis
13 . II. « Lolita » ou le scandale « Entre les limites d’âge de 9 et 14 ans apparaissent des fillettes qui, aux yeux de cert
14 s formes limitatives s’étaient perdues toutes les limites et, comme ils ne percevaient plus aucune séparation, ni en eux ni dan
10 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
15  : mesure, forme, grandeur, métamorphose, miroir, limite , sacrifice, chance, drame et tension, ne sont guère définis que par l
16 rofonde, l’ultime, et le dirai-je, la pensée sans limites … Le zen suppose la dissolution, l’éclatement de tout le conceptuel.
17 ’est que l’un et l’autre se soucient davantage de limites que de causes. Et cette notion de limite, si importante pour lui, le
18 tage de limites que de causes. Et cette notion de limite , si importante pour lui, le ramène à Rilke, dont il cite ce vers : S
19 Vin. Ici, dit-il, plus de théâtre… Il s’agit de limites , d’abîme, de centre et d’absence de centre. Il s’agit également de la
20 et d’absence de centre. Il s’agit également de la limite entre existence et poésie, ou de la poésie comme existence, ce qui do
21 me, puis, oublie tout et peins. » (Problème de la limite entre existence et art, ou de l’art comme existence.) D’autres corres
22 Le point où tombe la flèche, c’est le fini (sans limites ). À la place de ce fini (sans limites) posons l’infini (la liberté) ;
23 fini (sans limites). À la place de ce fini (sans limites ) posons l’infini (la liberté) ; le but deviendra le sens. Mais la flè
11 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
24 st la voie de Tristan. Sa passion veut aimer sans limites , au-delà des formes et du temps, au-delà du moi distinct et désirant,