1
opposerai le fait de l’homme. Voilà le sens et la
limite
de l’abaissement que je demande. D’un symptôme de décadence Pou
2
ance, est aujourd’hui le peuple sans mesure, sans
limites
et sans foyer. Sans espérance, il crée des utopies. Sans obéissance,
3
« universelle » dans le temps de sa vérité et les
limites
du monde qu’elle embrasse. 24. « Resumentes igitur venabula nostra,
4
e le comble de la pondération, c’est-à-dire, à la
limite
, l’équivalence parfaite des idées, l’équilibre de la balance, ce qui
5
is dont ils ne peuvent définir le principe ni les
limites
, à quoi se résout-il effectivement ? À ce recours à un système ou à u
6
ilité, bien qu’ils restent capables, même à cette
limite
, d’engendrer les plus complexes neurasthénies. 78. Cette expression
7
rtantes : Cela est-il possible à l’homme dans ses
limites
charnelles ? Cela exige-t-il de moi un acte précis, ici et maintenant
8
ne vision commune, un acte d’incarnation dans nos
limites
finies. Nous avons grand besoin d’une cure d’assobrissement. (Et c’es
9
révèlent à nous qu’au point où nous heurtons ces
limites
extrêmes de notre condition. Mais il nous faut apprendre que ce qui e
10
raison, qui lui donne corps en lui assignant des
limites
. (La raison seule ne produit rien. La violence seule détruirait ses p
11
t de concevoir ce qu’il ne pouvait faire dans ses
limites
. Dès cet instant, notre pensée se mit à mentir, à dire ce qui n’est p
12
u allais vivre : une agonie ! Il faut poser cette
limite
, il faut y tendre sans relâche. Ne fût-ce que pour nous prémunir cont
13
vant le conflit humain tel qu’il se joue dans nos
limites
charnelles. Mais ce qui est sûr, c’est que le conformisme et l’évasio
14
nt — je poserai donc la thèse suivante, comme une
limite
extrême et un repère : Le lieu de toute décision qui crée, c’est la
15
é dernière, dont l’existence concrète déborde les
limites
de la personne. On songe ici tout de suite à la question sociale. On
16
e : le collectif. Ramener la question sociale aux
limites
de la personne, c’est constater que la question sociale, en tant qu’e
17
confondre avec un moi désormais incertain de ses
limites
agrandies. Perte de tension, en chaque point du cercle. Il faudra bie
18
re à cette question outrepasse sans nul doute les
limites
d’un ouvrage profane. D’autre part, il n’est pas mauvais d’éprouver p
19
part, il n’est pas mauvais d’éprouver parfois ces
limites
, au besoin d’y faire quelque brèche pour aller béer sur l’absurde, ou
20
n créateur créé, un ordonnateur obéissant, et ses
limites
sont celles de l’incarnation personnelle. C’est là son ordre et sa ré