1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
1 ngle clair posé sur l’horizon, un peu au-delà des limites européennes, dans une espèce de terrain vague de la civilisation de l
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
2 ment analogue, j’imagine, à un poste colonial aux limites du désert. Curiosité, comme au début d’un film. La situation est d’ai
3 i du monde et nous ramène tout physiquement à nos limites . Mais l’homme est ainsi fait qu’il désire sans cesse se risquer au-de
4 e me vois contraint de toucher tous les jours les limites du domaine culturel : et là seulement paraissent les absurdités sur l
5 ils vivent à peine. Ils subsistent. À la fois aux limites du continent et aux limites de l’humanité. Ils n’attaquent plus, ils
6 istent. À la fois aux limites du continent et aux limites de l’humanité. Ils n’attaquent plus, ils se cramponnent. Ce ne sont p
7 lle est la formule à la fois de la mission et des limites de Goethe. Et c’est là qu’il nous faut reprendre, avec une patience o
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
8 comporte sa condition. Sans même aller jusqu’à la limite de cette perversion, il aurait en tout cas pour effet de nous rendre
9 . Il n’y avait donc plus d’autre espoir. Voilà la limite impensable. Quand on en vient à désespérer d’un peuple, d’un régime,
10 l’on constaterait alors ne serait en fait que la limite du pire désordre, et c’est la mort. Cas purement idéal bien entendu p
11 ue : faire de la place aux jeunes en abaissant la limite d’âge dans les chemins de fer et l’administration ; faire des lois ré
12 st instructif. Mais le désir de s’instruire a des limites . Déjà les relations se stabilisent, les « courtes habitudes » épuisen