1
ngle clair posé sur l’horizon, un peu au-delà des
limites
européennes, dans une espèce de terrain vague de la civilisation de l
2
ment analogue, j’imagine, à un poste colonial aux
limites
du désert. Curiosité, comme au début d’un film. La situation est d’ai
3
i du monde et nous ramène tout physiquement à nos
limites
. Mais l’homme est ainsi fait qu’il désire sans cesse se risquer au-de
4
e me vois contraint de toucher tous les jours les
limites
du domaine culturel : et là seulement paraissent les absurdités sur l
5
ils vivent à peine. Ils subsistent. À la fois aux
limites
du continent et aux limites de l’humanité. Ils n’attaquent plus, ils
6
istent. À la fois aux limites du continent et aux
limites
de l’humanité. Ils n’attaquent plus, ils se cramponnent. Ce ne sont p
7
lle est la formule à la fois de la mission et des
limites
de Goethe. Et c’est là qu’il nous faut reprendre, avec une patience o
8
comporte sa condition. Sans même aller jusqu’à la
limite
de cette perversion, il aurait en tout cas pour effet de nous rendre
9
. Il n’y avait donc plus d’autre espoir. Voilà la
limite
impensable. Quand on en vient à désespérer d’un peuple, d’un régime,
10
l’on constaterait alors ne serait en fait que la
limite
du pire désordre, et c’est la mort. Cas purement idéal bien entendu p
11
ue : faire de la place aux jeunes en abaissant la
limite
d’âge dans les chemins de fer et l’administration ; faire des lois ré
12
st instructif. Mais le désir de s’instruire a des
limites
. Déjà les relations se stabilisent, les « courtes habitudes » épuisen