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nd ce problème, et ensuite se maintenir entre les
limites
de l’intelligible. 10 » L’on découvre ici la source de l’étrange refu
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échec, non pas dans la sagesse (on touche ici les
limites
d’un Goethe), mais il y faut au moins cette imprudence sans laquelle
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gagner dans ce temps n’est pas sérieuse : elle se
limite
. Kierkegaard la déconsidère par l’ironie de l’éternité. Car en effet,
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e qu’aller au fond des choses ? C’est toucher les
limites
de notre condition et des idéaux qu’elle invente, et c’est connaître
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urtant Dieu le veut. L’exigence de Kierkegaard se
limite
à l’instant du choix, où l’homme s’engage « en vertu de l’absurde »,
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ietzsche a poussé comme Luther jusqu’aux extrêmes
limites
de l’homme, jusqu’aux questions dernières que peut envisager notre pe
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revêt la valeur d’une expérience cruciale sur les
limites
de la sincérité en général, et du journal intime en particulier. La p
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voit par l’étymologie. Aussi par le passage à la
limite
: car la plus grande crise imaginable, c’est l’arrêt absolu : le Juge
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univers, lui fait mépriser cette vie, sentir ses
limites
, mettre tout son espoir dans une existence d’outre-tombe91. » Le rêve
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unité perdue dans un monde supra-personnel où les
limites
hostiles s’effacent, où la passion peut s’épanouir, où l’intensité de