1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 à-dire dans son rapport avec le cygne et dans les limites de ce cadre, celui-là la considère aussi dans son risque propre, et p
2 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
2 telle perfection. Mais il fallait indiquer cette limite pour éclairer — précisément — tout l’entre-deux, la pénombre de ce dé
3 celle dont j’essayais de vous faire pressentir la limite , en parlant d’un langage inexplicable et pourtant évident. C’est peut
3 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
4 s la forme de l’inaccessible. Atteintes enfin les limites de la puissance du désir, sur la solitude égarée du couple, Éros pose
4 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
5 (Les « dieux » n’étant, en fait, que ses propres limites .) Dans l’histoire du supplice de Tantale, cet automatisme est si sûr
6 nstant du don, pour le recevoir en son lieu. À la limite , et dans la logique d’un mythe où l’homme s’identifie à l’une de ses
7 tre identité, des aliénations de nous-mêmes. À la limite , ils sont autant d’usurpations. Changeons maintenant de plan spiritue
5 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
8 leils et l’agrandissement de la lumière jusqu’aux limites de sa perfection, où tout ce qui voit éclaire aussi, où tout œil rend
9 cipe du second jugement. Chaque homme poussé à la limite de son expression, et chaque homme forcé à l’extrémité de son choix,