1
raphique s’arrête un jour3. Ici paraît l’idée de
limite
, celle-là même qui déclare la mise en crise virtuelle du monde modern
2
étonnées. La possibilité d’Œcumenopolis trouve sa
limite
dans la définition même de la ville, laquelle dénote, entre autres, u
3
atifs réels, qui sont, dans l’ordre matériel, les
limites
de la Terre et de ses ressources non renouvelables, dans l’ordre mora
4
s organes artificiels, ou artefacts. On tend à la
limite
à fabriquer l’homme-prothèse. Conditionné dès la période prénatale,
5
ce des États. Le phénomène du rejet marque ici la
limite
fixée à la technologie par la vie même. Il fait comprendre aussi la r
6
il perdra donc un jour le sens de la mesure, des
limites
. Il le pressent d’ailleurs, s’en inquiète sourdement, « se ronge les
7
d’un livre au titre délibérément blasphématoire :
Limites
à la croissance 31. Quand les économistes, sociologues, industriels
8
utoréglée, toute croissance biologique trouve ses
limites
, qui sont conditions mêmes de la vie. Mais les déchets de la producti
9
, là où nul cycle ne se règle par lui-même, toute
limite
est externe et posée du dehors. Elle est alors obstacle à écarter, ou
10
elle justement non renouvelables, posera la seule
limite
infranchissable à notre type de croissance industrielle. Mais une cro
11
ui vit en symbiose avec elle, une croissance sans
limites
, qui n’est en fait qu’une ex-croissance maligne. Perte du sens des
12
u’une ex-croissance maligne. Perte du sens des
limites
Dans chacun des domaines que nous venons de survoler, nous avons r
13
ouvé la même cause de crise, la perte du sens des
limites
, conditions nécessaires de toute vie, et le refus d’envisager à temps
14
ants (dont il sera, bien sûr !) où était la saine
limite
outrepassée. Il attend aussi que les pouvoirs imposent des bornes à l
15
lles, se devaient aussi de remplacer la notion de
limite
intrinsèque à tel domaine de l’être ou de l’action, par celle tout ar
16
vons vu, du principe absolu de la croissance sans
limites
, puis de l’augmentation sans fin du PNB, rapportée à son mode de calc
17
ui introduit les concepts de modèle mondial et de
limites
à la croissance. 35. La critique la plus profonde, et la plus sympat
18
compte des qualités, dont la croissance est sans
limites
. 36. Selon Barbara Ward et René Dubos, Nous n’avons qu’une seule Ter
19
de ce que la loi du 30 octobre 1968 en France, «
limite
à 50 millions de francs la responsabilité des exploitants d’installat
20
t pleine et entière. En revanche, s’il existe des
limites
à sa souveraineté, posées par l’intérêt général de l’humanité, il ne
21
nsés défendre. On peut très bien imaginer qu’à la
limite
éclate une guerre sans sujet politique, déclenchée par rétroaction au
22
r atteint, provisoirement peut-être, une certaine
limite
. Je dirais qu’elle a touché le fond, et même qu’elle l’a déjà percé,
23
défauts de la prospective actuelle, et posent ses
limites
empiriques. Limites et nécessités Quant aux limites philosophiq
24
ve actuelle, et posent ses limites empiriques.
Limites
et nécessités Quant aux limites philosophiques entre lesquelles l’
25
empiriques. Limites et nécessités Quant aux
limites
philosophiques entre lesquelles l’idée de prévision peut apparaître,
26
es certitudes quant à l’avenir et à ses cadres ou
limites
extrêmes ; l’incertitude portant alors sur le contenu de cet avenir,
27
à prendre pour lutter contre l’entropie, dans les
limites
du destin de l’homme sur la Terre. Une seule chose est certaine, c’es
28
er le mode d’emploi. Mais une fois reconnues ces
limites
à l’intuition et au calcul, il faut admettre aussi qu’une société hum
29
antes. Elle exprime et traduit les données et les
limites
de son individu, non les besoins et possibilités de son époque. L’aut
30
qui a déclenché la crise, posant du même coup la
limite
autoréglée de toute prospective. Car la crise de l’automne 1973 a bie
31
elle était juste au début ; ou, pour pousser à la
limite
: l’utilité (l’efficacité) de la prévision se mesurera à son inexacti
32
r qu’en progressant. Mais la nature humaine a des
limites
. Et le temps approche où elles seront atteintes. » On peut se demande
33
ces années des notions telles qu’autorégulation,
limites
, finalités, liens avec la nature, et ces irréguliers vivant en marge
34
tion. Elle l’a certes ébranlée par le Rapport des
limites
, mais en nous faisant peur, et il faut plus : quelque chose qui attir
35
sur tel taux de croissance irréversible de ce qui
limite
la liberté de l’homme. Si l’on me demande : — Serons-nous assez nombr
36
sent des effets convergents et se confondent à la
limite
. Car où serait la liberté d’un homme qui ne pourrait la manifester pa
37
e dans les causes injustes, le maintenir dans les
limites
de sa charge, enfin veiller à ce que la République ne reçoive aucun d
38
mais là seulement) où le souverain lui a fixé des
limites
constamment surveillées, précisées, adaptées, et qui permettent son f
39
tance décisive de l’encadrement, c’est-à-dire des
limites
imposées de l’extérieur. C’est en récusant ces principes de communaut
40
du, et plus le pouvoir doit être concentré. (À la
limite
, il faudra donc un dictateur.) De là le conseil de Rousseau aux patri
41
r votre gouvernement, commencez par resserrer vos
limites
. » (Il ajoute : « Certains penseront peut-être à vous y aider… ») Le
42
démocratie concevables ou réelles. Entre ces deux
limites
extrêmes de la polis primitive et de la mégalopolis se jouent les cha
43
hes « scientifiques », sans aucun doute, dans les
limites
que tout savant sérieux sait reconnaître à cette appellation. C’est u
44
dre d’un seul et même organisme, l’État, dans les
limites
d’un seul et même territoire, sur lequel cet État s’est déclaré souve
45
au nom d’une souveraineté qu’ils voulaient « sans
limites
sur leurs terres » ; enfin, une double erreur, de nouveau, sur l’Euro