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10 février 1967 Megalopolis est une sorte de
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, qu’on est en train d’atteindre, au-delà de laquelle on ne pourra plu
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par rapport au nombre des citoyens diminue. À la
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, on peut imaginer que, dans un très grand pays, il faut un dictateur.
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des communes sont déjà régionales, dépassent les
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de la commune. Pensez à l’eau : il est très rare qu’une commune puiss
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nt de plus en plus le détail de l’existence. À la
limite
, nous avons l’idéal du régime totalitaire qui règle absolument tout :
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de l’imprévu dans l’existence ; un régime dont la
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idéale — de même que la limite du régime unitaire était le totalitari
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un régime dont la limite idéale — de même que la
limite
du régime unitaire était le totalitarisme —, limite qui n’est jamais
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mite du régime unitaire était le totalitarisme —,
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qui n’est jamais atteinte, serait l’an-archie, l’anarchie au sens éty
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Faut-il enfin rappeler l’apport arabe, qui ne se
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pas au zéro précédant la suite des nombres, mais qui est l’une des so
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tion de la liberté : le dépassement de toutes les
limites
. Pour l’homme de la Renaissance, l’ici-bas n’est plus, comme pour l’h
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ans le camp des totalitaires poussé aux dernières
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de sa logique interne, c’est-à-dire à l’autarcie, c’est-à-dire à la r
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elle est en Suisse entre nos cantons : une simple
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administrative, qui ne fait plus obstacle à la libre circulation des
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la liberté. Est-elle un pouvoir ? Oui : mais à la
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, l’État-nation est le pouvoir sur autrui ; dans le fédéralisme, il s’
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d’un citoyen sur l’agora puisse porter jusqu’aux
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de la ville — comme le voulait Aristote — et beaucoup trop grandes po
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ionale absolue, de la souveraineté nationale sans
limites
, fictions sacrées, qui peuvent encore paralyser tous les élans vers l