1 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
1 ’objet de la partie numéro 2 du bulletin : savoir lire avec le minimum de duperie, une presse truquée. L’esprit Il est
2 1937, Articles divers (1936-1938). Romanciers publicitaires ou la contagion romanesque (13 mars 1937)
2 car en France, paraît-il, ce sont les femmes qui lisent et qui se passionnent pour les romans. Ainsi, à force de ménager les
3 1937, Articles divers (1936-1938). C’est jeune (10 avril 1937)
3 déclare avec tant de naturel ? Sentez-vous, à la lire , quelque chose qui s’agite en vous, entre le rire, l’inquiétude, et l
4 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
4 — Est-ce que vous écrivez des articles ? J’en ai lu signés de ce nom-là. Et elle me cite une revue protestante et une rev
5 s je collabore, en effet. — Vous avez le temps de lire beaucoup ? — Oh, on le prend. Comme nous ne voyons jamais personne… (
6 es qui travaillent, elles qui décident, elles qui lisent , elles qui vont à l’église ou au temple, ou n’y vont pas, elles qui s
7 e de malentendus de ce genre. Voire. Le peuple ne lisait pas, avant l’école de Guizot. Le « public », c’était la noblesse, et
8 ultivateurs, les trois instituteurs. Le pasteur a lu quelques passages de l’Écriture. Après quoi le sujet a été introduit
9 lus qu’on ne croirait. J’en connais plusieurs qui lisent des brochures de vulgarisation de la doctrine. Ils me posent quelquef
10 imple moyen… 31 mars 1935 Place aux vieux ! — Je lis dans un journal socialiste du Midi, sous la rubrique « La vie régiona
11 ne comprend pas profondément ce qu’on lui donne à lire ou à entendre. Il comprend sa situation, et ne voit pas que son journ
5 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
12 d. La musique m’ennuyait, indéfinie. Plus tard je lus le livre qui me parut splendide… Qu’est-ce qu’une ombre ? me demandai
13 ncourent à ridiculiser. Un fragment de Paracelse, lu par hasard à cette époque, vint heureusement me donner la clé d’une i
6 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
14 Depuis six jours que nous sommes arrivés, je n’ai lu que les Règles de Descartes, comme on ferait un mot croisé, pour tuer
15 ssance du jour, de Colette. Je n’avais pas encore lu ce livre. Il est exactement de l’espèce que j’aime, et l’un des plus
16 a page 43 de l’édition que j’ai sous les yeux, je lis ceci : « … ils déménagent… comme les puces d’un hérisson mort. » Cett
17 nts de revoir le va-et-vient d’un lieu public, de lire les journaux de Paris et de fumer des cigarettes américaines au goût
7 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
18 iculier, dans les Thèses sur Feuerbach. On peut y lire une phrase qui prouve que Marx ne prétendait nullement négliger les f
8 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
19 le méconnaître : on prétend, sans l’avoir jamais lu , savoir qui il fut, qui il est. Certains ont parcouru les Propos de t
9 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
20 tées. Sur une pierre de cimetière danois, on peut lire cette inscription nue : « Le Solitaire ». Le rire et la passion sévèr