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e. Prenons l’exemple de l’homme chrétien. Il peut
lire
dans les Écritures « qu’il n’y a pas un juste, pas même un seul » et
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s, faire de l’or, rajeunir, voyager dans la lune,
lire
les pensées, tuer ou guérir sans contact… — tout est là, ou peut l’êt
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pèce, mais en deçà du bien et du mal. Apprendre à
lire
en filigrane le jeu des mythes, dans les troubles complexités et les
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l le préface et il exhorte « les Européens » à le
lire
, au nom du raisonnement suivant : tous les Européens sont complices d
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par ministre des Affaires étrangères ». (Il faut
lire
tout cela dans l’Histoire des peuples de l’Afrique noire que publie R
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capitales industrielles, mais ses cathédrales ! (
lisez
-le pour y croire : p. 23). D’ailleurs, « l’Européen n’a pu se faire h
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histoire mondiale qui sera la nôtre. On ne peut y
lire
un destin. Chaque géographe en tire d’ailleurs ce qu’il lui plaît. C’
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ment vérifiable et dont les données objectives se
lisent
sur nos mappemondes et cartes économiques, en attendant d’être photog
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ançaise. C’est dans les tavernes anglaises que se
lisent
à haute voix les éditoriaux du journal que Daniel Defoe rédige seul,