1
e comprenait, qui écrivit : « Quand les livres se
liront
-ils d’eux-mêmes, sans le secours des lecteurs ? Quand les hommes se c
2
nd peintre. Pourtant, malgré des longueurs, on ne
lira
pas sans plaisir ce livre où l’on voit un homme appeler en vain le ve
3
r les générations nouvelles et leurs maîtres soit
lu
par tous ceux qui cherchent à s’orienter dans la crise moderne. M. Da
4
jours de Weber… Mais au fait, si vous n’aviez pas
lu
ce livre ? Ah ! sans hésiter, je vous ferais un devoir de ce plaisir.
5
vraiment donné quelque chose. C’est pourquoi j’ai
lu
ce livre, malgré son premier chapitre, variation sur un mot bien fran
6
e Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)ba À
lire
ce petit livre et le parallèle qu’il établit entre le yogabb telle qu
7
ngulier que l’esprit pénètre dans la poésie, vous
lirez
Mes Propriétés. Il se peut que vous les trouviez médiocrement riantes
8
s Trivia de Logan Pearsall Smith — je n’avais pas
lu
de livre où s’exprimât avec une pareille sécurité dans l’insolite, ce
9
e se résout dans une amertume vague. Ceux qui ont
lu
la Mort difficile de René Crevel ne s’étonneront ni du sujet ni de la