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étrangère ou extérieure à l’Europe que l’on peut
lire
dès la p. 3 : « Je considère l’antieuropéanisme comme un élément cons
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ant de sens du mot que d’écologistes ! » (Je l’ai
lu
hier encore.) L’Écologie serait « une douce manie de rousseauistes ép
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ralement. Dans un écrit du même auteur38, on peut
lire
que l’Europe est « foutue », qu’elle est « en grand danger de crever
4
it autre chose ou le contraire de ce qu’il veut y
lire
aujourd’hui ; celles qui sont correctement transcrites ne sont pas de
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notre presse aime à railler les uniformes ». Je
lis
cela, monte au grenier, y cherche en vain la revue citée. En admettan
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vention, d’où le renvoi à la note 7, où l’on peut
lire
: Le texte dit exactement (ce souci de précision, ici, touche au sub
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spécifiquement, l’individualisme ». S’il m’avait
lu
, il eût remarqué, et peut-être compris, que ce qui était visé était l
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mme. Une fois de plus on dirait que Lévy n’a pas
lu
le contexte des citations qu’on lui aura fournies. Quel dommage qu’un
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ectuel », des dizaines de milliers de jeunes gens
liront
Lévy, tant pis, mais ce qui est grave : croiront les « plumes autoris
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léspectateurs qui croiront (s’ils ne m’ont jamais
lu
) ce qu’écrit Lévy confirmé par Aron, et notamment, que j’étais « para
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pronazi. Mieux encore : dans un périodique nommé
Lu
, un professeur agrégé de philosophie nommé D. Grisoni, rend compte av
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e serait pas difficile à produire : ils n’avaient
lu
que le seul B.-H. Lévy — et l’avaient cru, sur la foi de L’Express.
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uelles bases, et selon quelles définitions ? J’ai
lu
les 708 pages de ce livre, admirablement illustré, et n’y ai trouvé q
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toujours, au départ, révolutionnaire ». On a bien
lu
: « Bien savoir qui est l’État, c’est savoir au profit de qui travail
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paix, paru en 1945, et signé Jacquier, on pouvait
lire
: « [La souveraineté nationale est] un dogme périmé… depuis cinquante
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moindre échange. Je l’avais notée, et je vous ai
lu
mes notes juste après que le président soit intervenu. C’était en sub
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la moindre allusion. Je ne sais pas s’il a jamais
lu
Dostoïevski, j’en doute parfois. La source slave, à partir du xixe ,
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de l’Europe (été 1985)u L’article que l’on va
lire
a paru d’abord dans la Rivista di Studi Politici Internazionali, publ
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emment par son secrétariat, je reste stupéfait de
lire
p. 47 la phrase suivante : L’originalité de l’action culturelle du C
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en la renvoyant à quelque session ultérieure. Je
lis
pas mal d’études sur la CEE de Bruxelles et ses problèmes. Je suis de
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mon temps ni celui de mes lecteurs. P.-S. — Je
lis
dans le numéro de janvier 1985 du Forum du Conseil de l’Europe les li
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escendant l’escalier de notre hôtel : « Je les ai
lues
, enfin ! » Moi : « Quoi ? » — « Vos fameuses, voyons ! Comme vous ête
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is devenir chimiste. Pourquoi ? Parce que j’avais
lu
par hasard un ouvrage d’un chimiste français un tout petit peu farfel
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étais décidé à devenir chimiste, j’ai été jusqu’à
lire
de gros traités de chimie qui étaient très difficiles pour moi parce
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oup de sport, j’étais passionné de football, j’ai
lu
un livre de Montherlant qui était à la gloire du football, intitulé L