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eu du fort, et de le déconcerter par ce refus. Je
lis
dans un ouvrage anglais quelques phrases qui pourraient orienter nos
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ges pieux auraient tourné la tête. (Il ne sait ni
lire
ni écrire.) Mais sous cet extérieur équilibré, et malgré l’apaisement
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éfaut de sens liturgique : lorsqu’il arrive qu’on
lise
, au début d’un de nos cultes, une prière liturgique isolée, comme la
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e note finale, ce texte est issu « des chroniques
lues
à Radio-Genève les 30 octobre et 6 novembre 1950, dans le cadre de l’
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que j’ai faite au service militaire. Je vais vous
lire
ces deux pages inédites, et que je ne compte pas modifier dans la ver