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e pense pas à mal, il a grand-faim, il a beaucoup
lu
Marx, et il est “partisan de la paix” ; d’autre part, ce berger n’est
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, autant que celle des USA. Les digests, que nous
lisons
par millions, ne sont tout de même pas distribués par M. Acheson, ni
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sur la foule ouvrière. Cette phrase qu’on n’a pas
lue
dans la presse communiste, nos enfants la liront dans leurs livres d’
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pas lue dans la presse communiste, nos enfants la
liront
dans leurs livres d’histoire. Cette phrase a été dite, une fois pour
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de la séance finale au Capitole, il se leva pour
lire
un magistral discours synthétisant l’ensemble des travaux : c’étaient
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is sans les voir, disposer d’esclaves mécaniques,
lire
les pensées… Demain nous irons dans la Lune, après-demain nous rajeun
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ait bâtir une église neuve. Au fronton, l’on peut
lire
encore : Deo erexit Voltaire. « Deux bien grands noms ! », disaient l
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er des peines dans ce monde, et dans l’autre ? » (
Lisez
: dans quel temps les titistes — par exemple — commenceront-ils à red
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différence est grande, que toutes les religions (
lisez
les partis) sont les ouvrages des hommes, et que l’Église romaine est
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ue l’Église romaine est seule l’ouvrage de Dieu. (
Lisez
: que le PC est seul dans le sens de l’Histoire.) Mais en bonne foi,
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n bonne foi, parce que notre religion est divine (
lisez
parce que notre Parti est socialiste), doit-elle régner par la haine,
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tres, et par les actions de grâce rendues à Dieu (
lisez
: au Kremlin) pour ces meurtres ? C’est donc au nom de la tolérance q
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c’est lui qui a fait cela et non pas moi. On m’a
lu
sur Suez ici même, et je n’ai publié sur Budapest que trois petits ar
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début, plus qu’aucun ouvrage politique que j’aie
lu
ces dernières années, mais peut-être est-il trop complet, trop insist
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Maurras, Mazzini, H. S. Chamberlain ou Sorel. Je
lis
dans une revue réputée conformiste la phrase suivante : « Le caractèr
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et les intellectuels Dans une autre revue, je
lis
ceci : « L’Europe unie, c’est un problème qui intéresse avant tout le
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lant de Genève à Londres, à La Haye ou à Rome, je
lis
les prospectus qu’on nous donne sur ces villes. Les photos, les vigne
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à Paris. Tout ce que j’entends et tout ce que je
lis
, politique et littérature, donne la même impression générale — comme
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croire tout ce qu’on vous dit et tout ce que vous
lisez
! A. — Mais que croire, si tout ce qu’on me raconte et tout ce qu’on
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t ce qu’on me raconte et tout ce qu’on me donne à
lire
m’égare ? R. — Regardez ce que l’on fait, tous ces gosses, par exempl
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ses, et ne l’exprime presque jamais. Et tâchez de
lire
d’autres livres. A. — Justement, j’allais vous demander. J’ai lu votr
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res. A. — Justement, j’allais vous demander. J’ai
lu
votre avant-garde, et j’ai vu les pièces « noires » desquelles l’élit
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se donne pour telle, la seule sans doute que vous
lisiez
. Je ne vois rien là de particulier à la France, ni même à Paris. Vos
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e vendent mieux en temps de crise. Apprendre à
lire
. — Les correspondants sont honnêtes : ils disent en général ce qu’ils
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urs, si l’on veut bien se rappeler qu’apprendre à
lire
à tous ne sert qu’à préparer des lecteurs aux journaux, dans quatre-v
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nsi le centre géométrique de l’univers humain. On
lira
cela dans la savante étude du Dr J. Parker van Zandt, The Geography o
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st » d’Isolde agonisante. Cependant, ceux qui ont
lu
Lolita avec plus d’amusement pervers que d’émotion, seront en droit d
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osition et gestes politiques, mais n’ayant encore
lu
, lorsqu’éclata la crise, que les cent premières pages du roman, je me
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uel est le roi Marc qui l’en sépare ? Je me mis à
lire
plus avant. Une jeune fille, Lara, éveille la nostalgie du docteur Ji
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asternak. Sa lettre au Maître du Kremlin, nous en
lisons
les termes anticipés dans la scène où Komarovski (l’intrigant qui a s
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c-notes » (mars 1959)as François Mauriac ayant
lu
quelque part que le drapeau à croix gammée flotte sur Hambourg et que
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nt suivi la prise du pouvoir par Fidel Castro. Je
lis
dans l’un d’entre eux le récit des dernières heures d’un partisan de
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che de l’œuvre Ces premiers textes de Kassner,
lus
en français dans une précieuse et simple traduction79, lorsque j’essa
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ais pu revoir Kassner, l’hiver dernier, venant de
lire
son essai sur le zen et Rilke, je lui aurais posé des questions qu’il
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ssner à des lecteurs dont la plupart ne l’ont pas
lu
, en suivant la méthode usuelle : car on ne le trouverait pas, on ne t
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’autre ne fait que son devoir. » 82. Je viens de
lire
des propos de Kassner (recueillis par M. Kensik, Neue Zürcher Zeitung
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os recueillis par Kensik (Gedenkbuch, 1954) où je
lis
à propos de Kierkegaard, de son père, de sa fiancée, de sa mélancolie
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a question des relations entre États. » On a bien
lu
: l’idéologie communiste est une chose, la politique concrète en est
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t cas, qu’elle doit et peut intervenir. Vous avez
lu
et entendu depuis longtemps tant de banalités, souvent exactes d’aill
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nd que Don Juan les dédaigne ? N’aurait-on jamais
lu
le Catalogue ?) Entendu, accordé pour l’essentiel. Mais quoi ! Don Ju
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ion physique. Il faut croire que mon hypothèse se
lisait
entre les lignes, néanmoins, puisque Eugène Ionesco a pu dire (au cou
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anglais. Si, nonobstant l’analyse qu’on vient de
lire
, j’ai ressenti comme une blessure la rupture du 29 janvier, c’est à c
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et j’avais deux équipes d’« announcers » qui les
lisaient
en alternant les voix devant le micro : parmi eux, le peintre Ozenfan
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it ma Part du diable ). J’allais chez lui, il me
lisait
de la poésie sur un ton d’emphase soutenue, en marchant à grands pas
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iateur, dans le même poème…) C’est ainsi qu’il me
lut
un jour l’Ode à Charles Fourier qu’il venait de recopier d’une belle
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son nouvel Intercesseur : il insistait pour m’en
lire
des chapitres décrivant le travail et les plaisirs réglés des ouvrier
47
es du Drame . Breton me dit que sa femme en ayant
lu
quelques chapitres, il avait vu que le livre était « dangereux ». Com
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onctuel et parfaitement serein. Je ne sais s’il a
lu
mon litigieux ouvrage. « Je crois que vous croyez ? », me dit-il en s
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our qu’un mouvement s’y appliquât. — Je l’ai bien
lu
, m’a-t-il dit ce matin en me rendant le livre. Je crois que je compre
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de gagner. Cela ne l’empêche pas, d’ailleurs, de
lire
des livres de problèmes et de les jouer « quatre heures par jour, env
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er, j’ai ramené le journal du village, et je l’ai
lu
presque en entier tout en marchant, malgré les petites mouches harcel
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aritions dans le Sud-Ouest. L’une des girls avait
lu
un article sur l’automobile atomique dans un magazine du genre Look.
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é pour cela ! Quant au jeune poète dont vous avez
lu
les premiers essais (La Mort lente) il avait disparu dans les bois et
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s, il répond « Je vous demande simplement de nous
lire
les pages sur L’Attitude fédéraliste que vous avez publiées en 194015
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préside, me présente comme l’un des auteurs qu’on
lisait
dans son camp d’otages en Hollande. Si la jeunesse de nos pays n’a pu
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incipal, et je décide d’y retourner le soir même.
Lu
la Gazette dans le train : les « importantes déclarations » c’était t
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faire approuver par acclamations » et serait donc
lu
à la séance de clôture. Des représentants des trois sections l’examin
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entendu qu’à la fin de la séance de clôture où je
lirais
ce texte, tous les congressistes, Churchill en tête, signeraient le d
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clôture du Congrès fit accepter un compromis : je
lirais
le Message, mais j’omettrais la petite phrase incriminée. Cela sembla
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d’amour-propre), pendant que le sénateur Kerstens
lisait
le Message en anglais : j’avais repris ma place à la tribune, juste d
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rédiger un manifeste fédéraliste européen. On en
lira
le texte, largement commenté, dans L’Europe de demain, La Baconnière,