1
que vous le saurez un peu mieux quand vous aurez
lu
nos huit numéros. Il faut que notre revue reste cette chose unique et
2
lqu’un lorsqu’il écrivit certains vers qu’on peut
lire
plus haut : Les anges véritables qui connaissent les signes Sont moi
3
ard. Tenez, voici un traité de métaphysique, vous
lirez
ça en attendant. Très bien fait. Excellente méthode ! (Sort le Sens C
4
e mon pays où je cherchais mon dernier papier, je
lus
mon nom en grosses lettres : c’était l’annonce du décès de mon père.
5
de tel de vos confrères, si je dis : « Avez-vous
lu
… », vous voilà rouge ; et sur moi les foudres de votre paradis poétiq
6
? — Pour la vie ! Or je pense, à part moi : j’ai
lu
ça quelque part. Voyez ma franchise. Un peu grosse, n’est-ce pas ? D’
7
. Nous ne pouvons pas faire que nous n’ayons rien
lu
. Vous refusez de compter avec cette réalité de la littérature qui est
8
i du solide à équarrir. Et auparavant, j’aimerais
lire
un peu. Mes auteurs ? Goethe en tout temps ; Rodolphe Toepffer (admir
9
rdes celtes étaient honorés chez les rois. Tenez,
lisez
ceci : « La valeur du barde du palais, c’est-à-dire le prix qu’on doi
10
te du poème qu’un jour ou l’autre nuit nous avons
lu
puis oublié ? Un « ton fondamental » ? Des mouvements de mots ? ou se