1 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
1 ence son souvenir servirait de patronage. Si nous lisons les recueils de sources sur Bruder Klaus publiés par Dürrer en 1921,
2 raite lui permit de jouer. Nicolas ne pouvait pas lire la Bible, mais il aimait à en citer les versets qu’on lui avait ensei
2 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). Neutralité (3 mai 1940)
3 e la Suisse . Pendant tout l’hiver, nous avons pu lire dans les journaux cet avertissement sybillin : « Température maximum 
3 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable I : « Je ne suis personne » (15 octobre 1943)
4 etits poèmes en prose de Baudelaire que l’on peut lire la phrase la plus profonde écrite par un moderne sur Satan : « La plu
5 e de la rédaction : « Nous avons eu l’occasion de lire les réflexions d’une perspicacité peu ordinaire sur l’existence perso
4 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
6 seur capital de notre ère. Voici ce que l’on peut lire dans son journal intime : En opposition aux distinctions du Moyen Âge
5 1969, La Vie protestante, articles (1938–1978). La lune, ce n’est pas le paradis (1er août 1969)
7  : dans les livres d’histoire d’aujourd’hui, vous lisez très couramment que si Christophe Colomb est parti avec ses petites c