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roblème de la culture. Lorsque l’on entreprend de
lire
un livre qui traite d’un « problème » précis, il est prudent de se de
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faudra bien formuler, je voudrais que ceux qui me
lisent
distinguent ou pressentent une grande affirmation, une raison nouvell
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ctivité accrue ; et que les ouvriers se mettent à
lire
leurs livres, et viennent acclamer leurs discours, au lieu de croire
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le plus beau du monde, disaient-ils. Et l’on peut
lire
chaque jour dans la presse russe des déclarations de ce genre : « Le
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n même temps qu’un peuple immense apprenait à les
lire
. Cette situation exceptionnelle et provisoire a créé une communauté d
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complet désaccord avec la géographie physique. À
lire
nos revues, à écouter les débats les plus acharnés qui surexcitent le
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le froid et la faim est notre guerre ! » peut-on
lire
sur les panneaux de propagande du Secours d’hiver allemand.) On s’eff
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le choix qui importe est celui-ci : préfère-t-on
lire
la mesure à l’aiguille, au terme d’une opération correcte, ou préfère
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erme d’une opération correcte, ou préfère-t-on la
lire
dans l’éclat et l’ampleur des effets que la force en son action propa
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avantage parmi les lettrés qui seraient tentés de
lire
de la poésie. C’est bien une sorte de ressentiment — au sens nietzsch
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sant. 67. Ceci écrit depuis un certain temps, je
lis
l’essai de Valéry intitulé : Le Bilan de l’Intelligence (Variété III)
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t immédiat, tandis que j’écris et tandis que vous
lisez
. Comment réduire concrètement une désunion à ce point instinctive, co
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seul exemple, celui de Mozart. Mais il suffit de
lire
ses Lettres pour constater que la « grâce » où il baignait ne l’a pas