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tent guère de traces, il est constant qu’on les a
lus
pendant des siècles à la lumière des polémiques pauliniennes dirigées
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termes, la personne doit tout d’abord apprendre à
lire
le jeu des mythes — dans sa vie, dans ses rêves et dans les œuvres qu
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ui lui est par là même comparable. 2° Apprendre à
lire
en filigrane le jeu des mythes, dans les troubles complexités et les
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st » d’Isolde agonisante. Cependant, ceux qui ont
lu
Lolita avec plus d’amusement pervers que d’émotion, seront en droit d
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osition et gestes politiques, mais n’ayant encore
lu
, lorsque éclata la crise, que les cent premières pages du roman, je m
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uel est le roi Marc qui l’en sépare ? Je me mis à
lire
plus avant. Une jeune fille, Lara, éveille la nostalgie du docteur Ji
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asternak. Sa lettre au Maître du Kremlin, nous en
lisons
les termes anticipés dans la scène où Komarovski (l’intrigant qui a s
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nd que Don Juan les dédaigne ? N’aurait-on jamais
lu
le Catalogue ?) Entendu, accordé pour l’essentiel. Mais quoi ! Don Ju
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ion physique. Il faut croire que mon hypothèse se
lisait
entre les lignes, néanmoins, puisque Eugène Ionesco a pu dire que mon
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se contraindre. Les jours suivants, il me donne à
lire
par paquets les épreuves de son Journal en cours d’impression, et sur
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aimé » — tous ces passages ont été coupés. On les
lira
plus tard. Il les a recopiés dans deux cahiers gris d’écolier. Un soi
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en évidence, un fort cahier gris d’écolier. J’ai
lu
les premières lignes, pour vérifier, et j’ai vite refermé la couvertu
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« Qu’est-ce que le style ? » Catherine, sa fille,
lut
sa dernière réponse : « L’originalité du Bipède. » (C’est ainsi qu’on
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itman, le plus furtif contact satisfait » peut-on
lire
dans Si le grain ne meurt. Satisfactions rapides et sans lendemain, p
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furent. 60. Dans Et nunc manet in te : p. 27, je
lis
: « Je sus bien, par ailleurs, prouver que je n’étais pas incapable d
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che de l’œuvre Ces premiers textes de Kassner,
lus
en français dans une précieuse et simple traduction81, lorsque j’essa
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ais pu revoir Kassner, l’hiver dernier, venant de
lire
son essai sur le zen et Rilke, je lui aurais posé des questions qu’il
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ssner à des lecteurs dont la plupart ne l’ont pas
lu
, en suivant la méthode usuelle : car on ne le trouverait pas, on ne t
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’autre ne fait que son devoir. » 83. Je viens de
lire
des propos de Kassner (recueillis par M. Kensik, Neue Zürcher Zeitung
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os recueillis par Kensik (Gedenkbuch, 1954) où je
lis
à propos de Kierkegaard, de son père, de sa fiancée, de sa mélancolie
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Et même la seule qui ait réussi. Apprenons donc à
lire
dans leur optique. Le même Kitaro Nishida qui écrit ceci : « La valeu
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p. 28. Je ne saurais trop inciter mes lecteurs à
lire
ce beau roman autobiographique : la fraîcheur poétique ou mieux, l’eu
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plus de tendresse et de rigueur l’Est et l’Ouest.
Lire
aussi, mais c’est beaucoup moins tendre pour les deux, c’est même fér
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chef-d’œuvre d’Henri Michaux, Un Barbare en Asie.
Lire
enfin de Rudolf Kassner, Le Livre de ma Vie. Puis aller en Inde et se
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motif quelconque ? Il répondit : N’avez-vous pas
lu
que le Créateur, au commencement, fit l’homme et la femme et qu’il di
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nce spirituelle est évidente). Celui qui vient de
lire
les évangiles et qui aborde l’Épître aux Romains se sent tomber de la
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omise « l’immortalité conquise en quinze jours » (
lisons
, comme le texte y invite, quelques lignes plus bas : « une vie prolon
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s couverts (mais bien assez précis, pour qui sait
lire
) ce que l’on a longtemps pris pour simple « joie d’amour », et qui ét