1 roblème de la culture. Lorsque l’on entreprend de lire un livre qui traite d’un « problème » précis, il est prudent de se de

2 ctivité accrue ; et que les ouvriers se mettent à lire leurs livres, et viennent acclamer leurs discours, au lieu de croire

3 le plus beau du monde, disaient-ils. Et l’on peut lire chaque jour dans la presse russe des déclarations de ce genre : « Le

4 n même temps qu’un peuple immense apprenait à les lire . Cette situation exceptionnelle et provisoire a créé une communauté d

5 complet désaccord avec la géographie physique. À lire nos revues, à écouter les débats les plus acharnés qui surexcitent le

6 le froid et la faim est notre guerre ! » peut-on lire sur les panneaux de propagande du Secours d’hiver allemand.) On s’eff

7 le choix qui importe est celui-ci : préfère-t-on lire la mesure à l’aiguille, au terme d’une opération correcte, ou préfère

8 erme d’une opération correcte, ou préfère-t-on la lire dans l’éclat et l’ampleur des effets que la force en son action propa

9 avantage parmi les lettrés qui seraient tentés de lire de la poésie. C’est bien une sorte de ressentiment — au sens nietzsch

10 sant. 69. Ceci écrit depuis un certain temps, je lis l’essai de Valéry intitulé : Le Bilan de l’intelligence (Variété iii)

11 t immédiat, tandis que j’écris et tandis que vous lisez . Comment réduire concrètement une désunion à ce point instinctive, co