1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 itent la ceinture industrielle. Il est étrange de lire des nouvelles comme celle-ci, concernant le haut lieu de la plus gran
2 mesurées pourtant, ne s’annonce pas meilleure. Je lis dans une motion du Comité de liaison des maires des vingt-six plus gr
3 iques ont fourni le modèle impressionnant : qu’on lise là-dessus Lewis Mumford, notamment sa Cité dans l’histoire, l’un des
4 s sur une douzaine d’auteurs d’écoles diverses je lis , d’une part, que les réserves de pétrole seront épuisées dans vingt a
5 s que par l’école ? On le croirait presque, à les lire . 33. On trouvera cela dans une « Argumentation contre Halte à la cro
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
6 es de valeurs, celles qu’il nous faut apprendre à lire précisément dans notre crise. Apprendre à distinguer dans nos actions
7 ait une conférence sur l’énergie nucléaire, et je lis dans les comptes rendus — tous pareils — que donne la presse du lende
8 e publicité poussent à la consommation. On peut y lire que nous voici sortis de l’ère où il convenait d’ordonner aux enfants
9 pôts) le temps de se reposer, de réfléchir, ou de lire mes livres par exemple. Et s’il était vraiment indispensable de « gag
10 (Cf. les journaux suisses du 16 février 1974). Je lis aussi, le 6 avril 1976, que la consommation d’énergie a régressé au t
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
11 ’a dit carrément. La plupart des auteurs que j’ai lus et cités se plaignent que l’État, dans le domaine dont ils traitent,
4 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — L’avenir sensible au cœur
12 ats-nations de modèle napoléonien94. En 1974, je lis dans le Rapport de Tokyo sur l’homme et la croissance, publié par le
13 le monde s’annonce au cœur de l’homme et peut s’y lire d’abord, car c’est là que l’histoire se noue. De même que c’est dans
5 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
14 vouer plus tard, au cours d’un procès, qu’il sait lire , oui, mais très lentement), ennemi juré de toute grâce et de toute gr
15 un train que je vais prendre. Dans mon wagon, je lis , je dors, je mange, je puis marcher, regarder ce qui passe, fermer le
16 . Au volant, rien de pareil : tout ce que je puis lire , ce sont des chiffres, des panneaux publicitaires, des conseils ou de
6 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
17 st des victoires impossibles110… » Enfin, on peut lire dans La Part du diable que je publiais à New York en 1942, trois an
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
18 it : « L’État c’est moi ! », c’est qu’on lui aura lu Jean Bodin. Dans La République, ouvrage en six livres paru en 1576, c
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
19 e ces lignes à un ouvrage que je suis en train de lire et que j’eusse voulu écrire. Il s’intitule Small is beautiful, sur le
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Que tout appelle les régions
20 end représenter l’ensemble des automobilistes, je lis  : « L’auto est devenue l’instrument légal du meurtre. Nos autorités o
21 ier 1975, j’ai envoyé le message suivant qui sera lu , avec beaucoup d’autres, sous une tempête de neige : Aujourd’hui, ce
10 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
22 ’hôtel pour écrire le message final du congrès, à lire le lendemain matin. Je trouve là Carlo Schmid et des amis. Je leur de
23 elles, bien vite classées, parfois sans avoir été lues , puisqu’on ne les avait pas sollicitées et qu’elles servent peut-être
24 72 n’a guère duré que soixante ans. 201. On peut lire partout des déclarations d’experts du type suivant : « Dans les année
11 1977, L’Avenir est notre affaire. Conclusion. « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? »
25 de paix, ni de futur à vues humaines. J’ai voulu lire l’avenir inscrit en nous — non certes dans nos chromosomes : n’allons