1 1982, Articles divers (1982-1985). Un écrivain au service de la cité (24 octobre 1982)
1 rticle, publié à l’âge de 17 ans, dans la Semaine littéraire de Genève, était consacré à Montherlant et le football, comme j’étais
2 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
2 à la cause européenne, et tant pis pour mon œuvre littéraire … » Et me voilà : j’y suis encore après trente-trois ans. Je dois avou
3 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
3 peut servir d’épigraphe non seulement à mon œuvre littéraire , mais sans doute aussi à mon action pour l’Occident, pour l’Europe d’
4 ps, j’ai écrit et publié une quinzaine d’ouvrages littéraires et philosophiques, et plusieurs tomes de mon Journal d’une époque ,
5 ci, dans le vif, l’interaction féconde de l’œuvre littéraire et philosophique et des énergies mobilisées par l’action européenne s
4 1984, Articles divers (1982-1985). Le Patrimoine européen [conclusion] (1984)
6 s antinomies parfois créatrices ; dans le domaine littéraire , en nous interrogeant sur ce que l’on peut appeler les classiques eur
5 1985, Articles divers (1982-1985). Quelques-uns de mes écrivains : anecdotes (1985)
7 ré là plusieurs des demi-dieux de mon adolescence littéraire , de Gide à Fargue et à Malraux. Intimidé cela va sans dire, et c’est
8 oin la plus belle et la plus exclusive des revues littéraires de ces années-là. Elle portait sur la page de garde : « Cahiers trime
6 1985, Articles divers (1982-1985). Éloge de Jean Starobinski (1985)
9 rtager les mêmes admirations et les mêmes amitiés littéraires , mais avant tout le même souci du style, du nombre et de la cadence d
10 bitieusement défini ma tâche : conférer à l’essai littéraire , à la critique, à l’histoire elle-même, le caractère musical et la pl
11 Starobinski est certainement le critique le plus littéraire de notre temps, dès lors que sa critique a valeur « littéraire » par
12 notre temps, dès lors que sa critique a valeur «  littéraire  » par elle-même. Écrivain comme peu d’autres, ici et aujourd’hui, quo
13 nullement de biographie ni de critique proprement littéraire . Il s’agit du mouvement créateur de la personne d’un écrivain, mouvem
7 1986, Articles divers (1982-1985). Interview avec Denis de Rougemont (1986)
14 crivain que j’étais, pour qui le sommet de la vie littéraire et intellectuelle du siècle était le groupe de la Nouvelle Revue fra
15 si théologique, métaphysique, et — pourquoi pas — littéraire  : car le style, pour moi, dit autant (parfois plus) que les démonstra
16 rsonnalistes, peut-être par une certaine ambition littéraire que d’autres n’avaient pas, qui n’était pas dans leurs préoccupations
17 i une question de rigueur — doit avoir une valeur littéraire à mes yeux. Vous disiez que chez vous plus que chez les autres person
8 1986, Articles divers (1982-1985). L’Europe des consciences (1986)
18 ure c’est poésie, roman, théâtre, et que création littéraire serait synonyme de fiction. Voilà qui est méconnaître à tout le moins
19 nts européens étaient « au détriment de mon œuvre littéraire  ». Je serais perdu pour la littérature… Le prix Schiller que je reçoi
20 se deux ans de ma vie, et tant pis pour mon œuvre littéraire . C’était en 1947. J’y suis encore, les deux ans sont devenus trente-c
21 is le moins mécontent, d’un point de vue purement littéraire  ! ⁂ Mais laissons là mon cas et ma littérature, et parlons un moment,