1 n de l’antique et du moderne, non du point de vue littéraire comme on le fit en France, mais du point de vue des valeurs vitales (

2 ée, poursuivra durant toute sa vie une « activité littéraire  ». Ces deux expériences seraient antithétiques si elles étaient super

3 ce qui n’est pas même le cas. De ce point de vue littéraire , la confrontation serait absurde, j’en conviens. Mais notre optique n

4 olontaire et soutenue. Ce n’est donc pas l’aspect littéraire de leur expérience qui doit conditionner notre vision. Non point qu’i

5 s éthiques et dans la divergence des réalisations littéraires . « Bon esprit, prends garde ! Pas de partis de salut violents. Exerce

6 st généralement conditionnée par notre romantisme littéraire en même temps que par notre scepticisme religieux. Une telle disposit

7 reviendrait à les taxer de mythomanie. La ferveur littéraire indiscrète, qui fera sans doute le succès de ce volume, vaut-elle mie

8 plus familière et directe, tandis que ses écrits littéraires ou philosophiques ont pour dessein, plus ou moins déguisé, de pousser

9 ée, venant de l’étranger. En-tête d’une fondation littéraire . Il faut d’abord signer, c’est recommandé. Ensuite, il faut comprendr

10 Il est probable aussi que le journal est un genre littéraire inférieur, pour cette raison qu’il est toujours trop facilement intér

11 la distance qui sépare de la sienne ma génération littéraire . Notre culture est beaucoup plus philosophique — je simplifie — que l

12 beaucoup plus philosophique — je simplifie — que littéraire . Non point par préférence, loin de là. Mais les problèmes qui se pose