1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 propose d’envisager Tristan non point comme œuvre littéraire , mais comme type des relations de l’homme et de la femme dans un grou
2 vertu d’une coutume paresseuse de notre critique littéraire . En vérité, elle ne répond à rien. Elle nous ramène simplement à pose
2 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
3 ain.56 » Le trobar clus ne serait ainsi qu’un jeu littéraire , un « tarabiscotage », « une perversion du goût singulière dans une l
4 de déterministe : or le surréalisme fut une école littéraire avant tout ; on ne retrouve le terme de libido dans aucun des poèmes
5 nouveau — le roman — qui ne deviendra proprement littéraire que par la suite, quand il se détachera du mythe provisoirement extén
6 82. Il serait aisé de multiplier ces comparaisons littéraires . Mais certains traits de mœurs nous incitent à des rapprochements plu
7 « officielles » de la philologie et de l’histoire littéraire pour ne pas me servir ici de symboles. Ceci encore : les doutes qu’ex
3 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
8 eur proprement « romanesque » (au sens moderne et littéraire du terme) et par des complaisances bien explicables envers le goût de
9 tenir compte des éléments hérités de leur langage littéraire . Or s’il faut se borner à un exemple qui est à la fois le plus fameux
10 e la rhétorique courtoise. S’agit-il d’influences littéraires  ? Ou de courants hérétiques souterrains ? Ou d’une recréation autonom
11 lle une influence psychologique, et une influence littéraire qui apparaît surtout dans le symbolisme guerrier du combat spirituel
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
12 puis les masses par imitation, sont des créations littéraires en ce sens qu’une certaine rhétorique est la condition suffisante de
13 dmettre qu’elle est parallèle à ses métamorphoses littéraires . (Moyennant, cela va de soi, certains retards et simplifications). En
14 es traque, aient cessé de recourir à l’expression littéraire de leur religion. Le catharisme se cachera désormais dans les couches
15 emble bien qu’un courant très direct d’échanges «  littéraires  » — si l’on veut — unisse le Midi de la France à la Lombardo-Vénétie.
16 e un éloge de l’Astrée : du point de vue de l’art littéraire , c’est une réussite capitale. Jamais les ressources d’une rhétorique
17 stion nette : que vaut le succès même de l’effort littéraire  ? Si l’on songe au mythe primitif, dont l’Astrée reprend tous les thè
18 smettait le virus atténué du philtre ; la culture littéraire entretenait, dans une certaine jeunesse tout au moins, le besoin d’un
19 « Vie » a pu donner naissance à de belles œuvres littéraires . Mais elle porte un nom « politique ». Je la retrouve, étrangement id
20 le mythe originel de Tristan, puis ses substituts littéraires . Le xixe siècle bourgeois vit se répandre dans la conscience profane
21 ans, au xxe siècle, de toutes les autres formes littéraires , aboutisse à cette analyse marécageuse de nos doutes et de notre vide
5 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
22 t irréversible, — alors qu’il y a des « retours » littéraires  — que la nécessité d’une solution nouvelle est apparue en premier lie
6 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
23 t, une morale inspirée par l’ambiance culturelle, littéraire , artistique — c’est la morale passionnelle ou romanesque. Tous les ad
24 allemande, la Neue Sachlichkeit des avant-gardes littéraires et artistiques, l’homosexualité très générale dans les associations s
7 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
25 nt très arbitraires. Mais il reste que l’histoire littéraire et religieuse n’a fait que confirmer, plus tard, l’exactitude de bien