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Réponse à l’enquête «
Littérature
et christianisme » (20 novembre 1938)h Tous les problèmes se pose
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le reste est apologétique, c’est-à-dire mauvaise
littérature
. Aux yeux d’un croyant, il n’est pas de comparaison possible entre la
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ne mesure, pourquoi « il n’est pas question d’une
littérature
protestante ». En effet : le protestant ne considère pas que son serv
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idéalement : nous avons nous aussi une pénible «
littérature
protestante » d’édification.) Elles sont encore une action de grâce,
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s plaisait d’imaginer… h. Réponse à l’enquête «
Littérature
et christianisme », La Cité chrétienne, Bruxelles, n° 286, 20 novembr
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e jeune écrivain est en passe de se faire dans la
littérature
une place bien à lui et qui n’est pas des moindres. Ce fils de la lib
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mythe, à passion et mysticisme, au mythe dans la
littérature
, à l’amour et la guerre, ont été trouvés en cours de route. Mais les
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e fois franchi, elle se répand à travers toute la
littérature
qui ne fait que refaire éternellement, avec plus ou moins de succès,
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assion qui n’étaient pas jusqu’à présent objet de
littérature
sérieuse. Il est rare, en effet, qu’on en ait parlé en France comme d
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Suisse est belle. On a fait avec cela beaucoup de
littérature
de manuels, — et en même temps un peu d’argent, je crois. Tant pis po
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au but de l’œuvre. Je vois une revue d’art et de
littérature
consacrer des milliers de francs à sa « présentation » matérielle, et
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n’est pas seulement l’un des chefs-d’œuvre de la
littérature
universelle, l’un de ces livres à la fois populaires et pleins de sec