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Dewey. 3. Les rapports entre la théologie et la
littérature
ne sont pas aussi clairs, ni aussi facilement définissables et contrô
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omment en nier l’importance, dans un siècle où la
littérature
exerce sur le public cultivé un empire comparable à celui de la radio
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l est clair que la théologie n’a pas besoin de la
littérature
et peut s’en désintéresser sans grand dommage. Si l’on admet qu’elle
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Église. Mais il est beaucoup moins évident que la
littérature
puisse se passer impunément de la théologie. Et il est bien certain q
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r foi : le vocabulaire de la piété et celui de la
littérature
, les atmosphères qu’elles créent, les problèmes qu’elles envisagent,
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outume « d’orner » leurs sermons. Ce n’est pas la
littérature
qui doit prêter secours à la Parole de Dieu, mais c’est le contraire.
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donné l’esquisse d’une étude des hérésies dans la
littérature
moderne. Pour ma part, j’ai tenté de montrer comment les troubadours,
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intellectuelles, ou de simples facilités… 8. La
littérature
en général trouve à se nourrir moins dans telle doctrine théologique
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être féconde. 10. Une critique théologique de la
littérature
devra mettre en garde son public contre l’illusion courante qui consi
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espérais simplement désigner. b. « Théologie et
littérature
», Hommage et reconnaissance : recueil de travaux publiés à l’occasio