1
ues musicaux à Rome, en 1953, le Prix européen de
littérature
, et l’initiative de la création du CERN, bornons-nous à décrire les t
2
le — théologie, philosophie et science, poésie et
littérature
—, a produit la technique occidentale ; et que la technique ne saurai
3
i créent la culture, les arts, les sciences et la
littérature
. C’est évident. Mais il ne faut pas oublier qu’ils se nourrissent en
4
édés de reproduction en couleur, et pour toute la
littérature
, et même pour la philosophie. Le succès stupéfiant des pocket books,
5
ste culture générale et synthétique, englobant la
littérature
et la métaphysique religieuse, si l’on veut que la recherche scientif
6
de primitive et ses expressions dérivées dans nos
littératures
et dans nos vies. De plus, elles donnent de la justesse dans le style
7
de nos émotions. Et ce n’est pas seulement de la
littérature
qu’ils ont bien mérité, mais de l’âme. t. « Tristan et Iseut à tra
8
mps », Bulletin de l’Académie royale de langue et
littérature
françaises, Bruxelles, 1961, p. 214-221. Précédé de la note suivante
10
on siècle », mais ce n’était pas pour faire de la
littérature
: c’était pour enseigner des vérités religieuses dans les vicissitude
11
ait eu la moindre « influence » vérifiable sur la
littérature
française, encore que les vertus de clarté, de mesure, de propriété d
12
continuée. Ce qu’on entend de nos jours par « la
littérature
» dans les milieux où elle se crée et se cultive pour elle-même, se d
13
Nouvelle NRF, 1953. x. « Calvin », Tableau de la
littérature
française, Paris, Gallimard, 1962, t. I, p. 276-281.