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t écrit p. 277 de Situations II que le sort de la
littérature
était lié à celui de la classe ouvrière, écrit p. 316 du même volume
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316 du même volume : Rien ne nous assure que la
littérature
soit immortelle ; sa chance aujourd’hui, son unique chance, c’est la
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. J.-P. Sartre, Situations II, « Qu’est-ce que la
Littérature
? », Gallimard, Paris, 1948. « L’ouvrier de 1947 a beaucoup à nous ap
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aquis… » (p. 246). Et plus loin : « Le sort de la
littérature
est lié à celui de la classe ouvrière » (p. 277). 4. André Reszler,
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t-être le seul vrai anti-Européen en art comme en
littérature
et en philosophie comme en morale, n’est-il tout simplement que le po
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là. Tout au long de ses deux grands livres, De la
Littérature
et De l’Allemagne, elle le décrit et elle l’illustre comme ce qui a t
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l n’y a pas de plus éminent service à rendre à la
littérature
que de transporter d’une langue à l’autre les chefs-d’œuvre de l’espr
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aductions, p. 387. 50. Op. cit., Tome IV, De la
littérature
, p. 198. 51. Ibid., p. 453. 52. Op. cit., Tome XI, De l’Allemagne
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, à un degré moindre dans les pays ibériques, des
littératures
en langues vulgaires apparaissent et se développent69. 2. Des roya
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rnements et de leurs experts, celles de certaines
littératures
, pas toutes, mais enfin il y en a beaucoup d’autres que nous pourrion
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l’idée de grandeur exprimée dans l’idéologie, la
littérature
et l’art, ne s’appliquait qu’à l’État, à l’empereur et à l’Église. Le
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uoi ne pas appliquer la méthode Georges Nivat aux
littératures
de l’Ouest, dans ce siècle, dans leurs rapports avec le pouvoir et av
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alisme et puis après la guerre, les tentatives de
littérature
purement objective, où l’auteur ne jouerait plus aucun rôle, ne défen
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aucun rôle, ne défendrait aucun point de vue, la
littérature
sémiologique de Roland Barthes. Aussi, parallélisme assez remarquable
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gné : pour échapper à l’idéologie, le retour à la
littérature
paysanne, à la littérature terrienne, comme celle de Ramuz qui s’est
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ologie, le retour à la littérature paysanne, à la
littérature
terrienne, comme celle de Ramuz qui s’est fait une langue qu’il voula
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la mystique celte, l’aventure, le roman, toute la
littérature
, y compris l’opéra sont sortis de là, et le reste est sorti de la civ
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es problèmes et les ressources. Tout le reste est
littérature
. Il n’y a pas de libertés sans responsabilités correspondantes, comme
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de la chimie. Je les trahissais en faisant de la
littérature
. C’était très mal vu. Je n’ai plus fait que ça depuis lors. Après ses
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subir, souffrir. L’amour-passion, glorifié par la
littérature
, c’est l’amour que l’on subit, qui aboutit généralement à des catastr