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ement. La passion dans l’amour nourrit toutes nos
littératures
depuis des siècles — depuis les troubadours — et grâce à la littératu
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siècles — depuis les troubadours — et grâce à la
littérature
, elle obsède nos rêves, elle met un « tourment délicieux » dans nos v
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s ont certes en commun avec nous l’héritage de la
littérature
, vulgarisé par Hollywood. Mais j’ai pu observer qu’ils tendent de plu
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ue le héros paie de sa vie. Or il existe, dans la
littérature
occidentale, un prototype de cette action tragique, une pièce célèbre
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’ayant en vue que la qualité des œuvres d’art, de
littérature
ou de science, et leur diffusion dans les masses, serait vraiment une
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vrai cauchemar) ; ou décerner 3000 grands prix de
littérature
, d’art et de science ; ou réunir 4000 séminaires de discussions et de
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la est possible encore. Certes, la peinture et la
littérature
sont tombées au plus bas en Russie soviétique ; mais le sort d’une ba
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de est absurde, on sent qu’il peut en faire de la
littérature
, mais non de la science. Einstein confirmera l’intuition de Descartes
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héisme. Le retour aux problèmes religieux dans la
littérature
occidentale s’est amorcé dès 1919, et n’a pas cessé de s’amplifier.
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Histoire, fiction commode. Loin d’ajouter à cette
littérature
, j’examinerai les trois questions suivantes : Que se passe-t-il en ré
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que j’entends et tout ce que je lis, politique et
littérature
, donne la même impression générale — comme si le cynisme était la seu
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rite comme le dernier roman d’amour-passion de la
littérature
occidentale. Le Docteur Jivago de Boris Pasternak n’est pas un acte p
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s deux exemples fondent une tradition de la haute
littérature
européenne, qu’illustreront plus près de nous un Goethe, créant le pe
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e, ne cessera de monter à l’horizon mondial de la
littérature
européenne. Le comique dévastant, la lucidité calme, le lyrisme qui s
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sent un philtre d’une efficacité inégalée dans la
littérature
contemporaine. Ce n’est pas René et ce n’est pas Byron, ce n’est pas
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rotique du mariage est une terre inconnue pour la
littérature
occidentale. Il se peut que Musil, à son insu, l’ait approchée plus q
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ste, la main sur le cœur, que j’ai contribué à la
littérature
soviétique et que je puis encore lui être utile. » Il a refusé le pri
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dans la mort… Il n’y a qu’un seul roman dans nos
littératures
! Une seule passion dictant les mêmes péripéties dans tous les temps
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yrique de son récit. Lié plus que tout autre à la
littérature
par une complicité d’origine et d’essence, l’amour-passion, nous l’av
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r un genre nouveau, qui pourrait intégrer dans la
littérature
les démarches de la science et de la psychologie les plus récentes. C
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it aussi la fin de cette forme de passion dont la
littérature
entretenait le culte ? Quels tabous subsistant de nos jours pourraien
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’on a cités d’entre les amis de Kassner, la seule
littérature
digne du nom ; et l’on ne s’étonnera pas que Kassner soit resté, jusq
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e celle d’avoir été le plus grand promeneur de la
littérature
universelle, malgré mes cannes ou à cause d’elles. Ce qui ne signifie
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elles. Ce qui ne signifie pas grand-chose pour la
littérature
, mais beaucoup pour moi… Ma vision, ma pensée, sont liées à la marche
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, dont il faut tenir compte. » Conséquence : « La
littérature
expérimentale d’avant-garde est une séquelle de la guerre froide » et
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« la paix entre les peuples et la guerre dans la
littérature
». Ehrenbourg, lui, est pour la paix dans la littérature aussi : « Je
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ture ». Ehrenbourg, lui, est pour la paix dans la
littérature
aussi : « Je tiens à affirmer ma profonde conviction qu’il n’existe p
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nos arts devant elle ont toujours reculé. Et nos
littératures
, impuissantes à créer le mythe du mariage idéal, ont vécu de ses mala
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nforme à autre chose qu’au rêve des Suisses, à la
littérature
romantique et aux intérêts du tourisme. 3°) Entre ces deux visions d’