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roduit la recherche de la vérité. Dès son premier
livre
, il s’est montré tout entier, il a bravement affirmé son unité. Car l
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tie du Paradis à l’ombre des épées 1, son dernier
livre
, est consacrée à « fondre dans une unité supérieure » l’antinomie de
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orces qui se lèvent. Car telle est la vertu de ce
livre
, qu’on l’éprouve d’abord trop vivement pour le juger. L’auteur l’appe
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isme. Une perpétuelle palpitation de vie anime ce
livre
et lui donne un rythme tel qu’il s’accorde d’emblée avec ce qu’il y a
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ion ? Comme la vue des athlètes en action, un tel
livre
communique une puissance physique, un mouvement vers la vie ardente q
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solente retombe devant le visage. Aurèle tient un
livre
ouvert, et ce n’est pas je pense qu’il le lise, mais il aime caresser
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e d’art, compose des coussins, des couvertures de
livres
, des étoffes, d’une somptueuse fantaisie ; et qu’Alice Perrenoud comb
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se — c’est une façon de parler — à laquelle on se
livre
dans ces lieux de plaisir — autre façon de parler. On dit que j’ai vé
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s là encore il se singularise : il n’écrit pas de
livre
pour y pourchasser un moi qui feint toujours de se cacher derrière le