1 s d’autres ont été plus loin. Je lis dans le beau livre de Paul Ehrlich, Population, ressources, environnement, cet exemple d

2 ces sujets seront-ils abordés dans votre prochain livre  ? C’est essentiellement ce titre que je donne au livre que je suis en

3  ? C’est essentiellement ce titre que je donne au livre que je suis en train de terminer. Je dis : « l’avenir est notre affai

4 part du diable » ? Breton m’a souvent parlé de ce livre , que j’ai écrit à New York. Il se demandait comment un homme qui croi

5 t, il n’y a plus rien. Il ne reste rien que leurs livres , et leur nom sur ces livres — mais pourquoi ? Marx, en revanche, déno

6 reste rien que leurs livres, et leur nom sur ces livres — mais pourquoi ? Marx, en revanche, dénonçant en termes hégéliens l’

7 s’intitulait « Le péril Ford », mon premier petit livre Les Méfaits de l’instruction publique  : anticapitaliste, antifascis

8 obert Aron La Révolution nécessaire, un des rares livres de ce siècle qui renouvelle la pensée politique6. Bibliothécaire à la

9 rit , L’Ordre nouveau , et publiant mes premiers livres . Alexandre Marc a travaillé chez Hachette, mais que fait-il et de quo

10 itique à hauteur d’homme », et en 1948 paraît son livre intitulé À hauteur d’homme 7. La poésie sera faite par tous répétaie

11 re de Mounier à Berdiaev), J. Lacroix écrit de ce livre  : « C’est décidément un maître ouvrage, à placer sur le même rayon qu

12 travail, j’ai écrit cinquante pages, un quart du livre . Je n’ai pas adressé un mot à âme qui vive (mangé dans des cafétérias

13 os des parentés du père d’ailleurs, dans le petit livre qu’il publie en 1948, Le Message d’Igor Stravinsky. Sur ce livre, nou

14 lie en 1948, Le Message d’Igor Stravinsky. Sur ce livre , nous possédons une lettre émouvante du père : « Ton merveilleux livr

15 une lettre émouvante du père : « Ton merveilleux livre m’est cher infiniment et me donne de la joie. Avec quelle conviction,

16 de l’esprit suisse en tant qu’il s’exprime par le livre , le théâtre, l’enquête sociologique et les éditoriaux des grands jour

17 t une érotique, le plus souvent codifiée dans des livres sacrés ou des idoles — à la seule exception du christianisme (dont on

18 n comme toi-même », cette foi nouvelle n’a pas de livres sacrés sur l’amour. C’est cette absence totale de cérémonials d’initi

19 rochain (Sacher-Masoch se choisira lui-même). Ses livres ont la monotonie de l’obsession. Quant à ses valeurs, on ne saurait t

20 la rue, dans les mœurs, dans le langage, dans les livres , ne signifie nullement que la sexualité soit plus anarchique ou plus

21 temps de se reposer, de réfléchir, ou de lire mes livres par exemple. Et s’il était vraiment indispensable de « gagner » trois

22 tat d’âme », on pourra contempler aux pages de ce livre tant d’apparitions mémorables. u. « L’Europe, l’été [préface] », Fe

23 ssayiste suisse Denis de Rougemont, au terme d’un livre important dont le titre résume bien l’esprit : L’Avenir est notre aff

24 en dix-sept langues. Et le titre de votre dernier livre — L’Avenir est notre affaire — sert déjà de slogan à un nouveau cou

25 sûr. Il y a quelques années, j’ai mêmeag écrit un livre intitulé Vingt-huit siècles d’Europe dans lequel je m’étais amusé à

26 e jusqu’à écrire une préface fort célèbre pour le livre de Franz Fanon, Les Damnés de la terre, dans laquelle il déclare, en

27 ccident … C’est absolument exact puisque, dans ce livre , je me livrais à une étude du couple à travers l’histoire de l’Occide

28 hètes, sauf d’avoir raison… Il fallut son dernier livre , L’Avenir est notre affaire , paru le mois dernier chez Stock, pour

29 vais vous lire une des premières phrases de votre livre  : « Si nous ne choisissons pas librement notre avenir, il n’y aura pl

30 nthèse : je ne me souviens pas, dans aucun de mes livres , d’avoir écrit cette phrase ! Mais on l’a si souvent citée comme étan

31 siècle en particulier que vous faites dans votre livre ce procès du « mythe de la puissance » avec tant de passion. Tout ce

32 e, nucléaire notamment. La première phrase de mon livre dit à peu près : pour la première fois dans l’histoire, l’homme se vo

33 au grand public. C’est ce que j’appelle dans mon livre « la pédagogie des catastrophes ». Car il y en aura d’autres. Quelque

34 L’Avenir est notre affaire . Tel est le titre du livre que vient de publier Denis de Rougemont. L’auteur de L’Amour et l’Oc

35 lus hautes valeurs humaines. S’il adopte dans son livre le ton du prophète, c’est que notre espèce se trouve dans une situati

36 immenses problèmes ? Comme je le montre dans mon livre , les États-nations ne sont plus adaptés aux grands enjeux de notre te

37 s idées que Denis de Rougemont développe dans son livre est précisément que l’homme contemporain, piégé par la technique et c

38 ile. Denis de Rougemont rappelle et cite dans son livre un article qu’il écrivit en 1928 déjà et dont le titre à lui seul est

39 été à contre-courant ! Ce qui est en jeu dans ce livre , comme dans toute mon œuvre, va tout de même bien au-delà d’une simpl

40 affaire . Je n’avais fait cela pour aucun de mes livres . J’ai écrit, par exemple, L’Amour et l’Occident en trois mois… En é

41 aractérisez-vous la perspective centrale de votre livre  ? Je dirai que c’est un essai d’une morale de l’homme libre et respon

42 nt est également un homme d’espoir. Son très beau livre est tout entier animé par la grande et généreuse idée que « le secret

43 avec L’Avenir est notre affaire (Éd. Stock) un livre d’une extraordinaire jeunesse, un ouvrage percutant où il s’en prend

44 de le calme suisse (il est né à Neuchâtel) et son livre qui vient de paraître aux éditions Stock a un beau titre : L’Avenir

45 mour impossible, et votre action aujourd’hui, vos livres engagés pour l’Europe des régions, pour l’environnement, contre le nu

46 un sens. Mais le fil conducteur existe, dans les livres que vous citez. Lorsque le « mouvement personnaliste » fut lancé, nou

47 du libre et responsable. Vous évoquez, dans votre livre , les nombreux mouvements populaires qui se sont créés au cours de ces

48 duits par le chapeau suivant : « Dans son dernier livre , le célèbre essayiste qui, depuis plus de quarante ans, défend l’homm

49 dée européenne, s’adresse à nous dans son dernier livre qui vient de paraître. L’Avenir est notre affaire . Un titre qui est

50 0 ni pain, ni eau, peut-être ! Il parle de son livre d’une voix lente, pèse ses mots comme il jauge le poids des choses, e

51 s perdu cette mesure : alors, tout au long de son livre , il nous houspille, nous provoque, nous met au pied du mur. Nous voic

52 de. Denis de Rougemont n’est pas un prophète. Son livre ne raconte pas une fiction. Il constate. Sévérité du moraliste, trist

53 la vocation d’homme. On la retrouve dans tous ses livres , dans ses articles, dans toutes ses activités. Le sens de la commu

54 sociologues, des urbanistes, des physiciens. Son livre en est le résultat. À la fois cri d’alarme et désespérance. L’espèce

55 chapeau suivant : « Sous ce titre va paraître le livre retentissant d’un grand humaniste. L’interview exclusive de Parents v

56 siècles d’Europe , Journal d’une époque , et le livre qui lui a apporté la célébrité et qui est aujourd’hui un grand classi

57 quand il sera grand. Ensuite, que j’ai écrit des livres , que je suis l’initiateur du mouvement fédéraliste européen. Que j’es

58 à chercher. Là-bas, protégé par le rempart de ses livres , il pourrait se laisser aller à l’égoïsme de l’intellectuel, mais sa

59 ouvrages, tous publiés « vingt ans trop tôt », le livre de Denis Rougemont L’Avenir est notre affaire paru cet automne, est

60 tilisée aux fins de défendre les centrales. On se livre à des enquêtes sur la vie des savants, des personnes, de leurs famill

61 était bien pâle. Mais ce jour-là, je reprends le livre et je découvre un personnage fascinant. Mystique, naïf, au bord de l’

62 intérieure et personnelle du sens et des sens du Livre  » objectivité de la Révélation — « subjectivité comme vérité présente

63 me de la liberté. Ayant écrit, dans un assez gros livre récent, que ce drame est celui de notre époque, j’ai trouvé, l’autre

64 a plus simple pour ce que je voulais dire dans ce livre , et dans beaucoup d’autres. Je pense que cette formule rejoint les th

65 mise en valeur par Bertrand de Jouvenel dans son livre Du Pouvoir, dont je ne me lasse pas de citer cette phrase : « Le pouv