1 et va vers elle. En 1934, dans un de ses premiers livres , il lance le mot d’ordre de “l’engagement de l’écrivain”. Dans le der

2 utant d’être écrivain. Pour l’instant, j’ai douze livres en chantier. À la suite de mon Journal d’une époque , devrait bientô

3 flirté avec le fascisme, alors qu’il fut, et ses livres en témoignent clairement, un antinazi de la première heure), celui qu

4 de premier ordre et un poète dont un des premiers livres , réédité ces jours en collection de poche, signale assez la double na

5 théorie « Personne-Planète », développée dans le livre de Théodore Roszak et qui a inspiré le n° 3 de notre revue. Mais on n

6 ppose une agence mondiale. Vous dites, dans votre livre L’Avenir est notre affaire , « la contestation nucléaire devient un

7 se fédérer avec d’autres fédérations. Dans votre livre , vous avez résumé trois schémas d’organisation : le schéma français,

8 t à l’État totalitaire. J’ai écrit dans un de mes livres  : « C’est avec la poussière des individus que l’État fera son ciment 

9 ce qui est vrai à tous points de vue. Dans votre livre , vous disiez qu’il faut aller à la fois vite et lentement pour consti

10 ui n’en a aucune idée exacte : Debré a traité mon livre de « livre infâme » ! Pour conclure, je vais vous citer une phrase qu

11 ucune idée exacte : Debré a traité mon livre de «  livre infâme » ! Pour conclure, je vais vous citer une phrase que j’ai écri

12 rler de Denis de Rougemont à cause de son célèbre livre L’Amour et l’Occident , écrit en 1939 et plusieurs fois réédité. Mai

13 pulés par Washington. — Ils sont mal informés. Ce livre suffit pour répondre. (La désinformation systématique par les médias

14 oposés dès 1972 dans mes articles, conférences et livres . Pour ce qui est du dépassement de l’économisme de Bruxelles, et de f

15 e circulaire exposant certaines des thèses de mon livre . Parmi les trois-cents réponses reçues, cent-cinquante ont paru intér

16 vous dire en quelques mots la préhistoire de mon livre , puisque c’est lui qui est l’occasion de notre colloque. J’avais pass

17 de Flue à New York. J’ai publié là-bas un petit livre sur la Suisse, The Heart of Europe , j’ai travaillé à l’Office of Wa

18 Français », puis j’ai écrit encore deux ou trois livres , dont l’un sur le diable , et l’autre sur la bombe atomique . Je suis

19 istoriens, une Communauté des guildes et clubs du livre , finalement une Campagne d’éducation civique européenne, qui a été re

20 es français, et qui est en somme un résumé de mon livre , c’est : « Écologie – régions – Europe fédérée : même avenir ! » J’in

21 juste idée des circonstances dans lesquelles mon livre a pris naissance, sans rappeler une soirée mémorable chez un ami, Eri

22 régions – Europe », — et qui m’a fait écrire mon livre . Je l’ai commencé en 1973 ; j’en avais écrit les cent premières pages

23 nçais. J’ai dû réécrire toute cette partie de mon livre , que je n’ai pu achever qu’en cinq ans. Je ne m’en plains pas trop, p

24 on aggiornamento tout au long de l’écriture de ce livre . À cause de ce délai imposé par les événements, il s’est trouvé que m

25 mposé par les événements, il s’est trouvé que mon livre , pour une fois, n’arrivait pas trop tôt ! Pendant ce temps, d’autres

26 ns à Creys-Malville, ont alerté l’opinion, et mon livre en a bénéficié, parce qu’il a paru deux mois après. L’éditeur m’a dit

27 auquel je n’avais pas été habitué par mes autres livres , trop difficiles ou trop en avance sur l’opinion du temps. Au moment

28 vante : cela revient dans toutes les pages de mon livre . Et c’est d’une importance particulière pour nous, Suisses, parce que

29 portant. Il cite Longo Maï que j’ai cité dans mon livre . Il ajoute : « Mais je ne crois pas qu’il y ait là une solution défin

30 oslave — si même il y en a un ! — en écrivant mon livre . Je me suis inspiré du modèle suisse, mais pour en faire tout à fait

31 action pour l’Occident, pour l’Europe d’abord. Ce livre , très vite traduit et publié en Angleterre, grâce à T. S. Eliot, et a

32 it le sujet des premiers chapitres de mon premier livre publié à Paris en 1934, et qui s’intitulait Politique de la personne

33 la « Pensée engagée », où il rendit compte de mon livre , et dont j’assumais la responsabilité. Tout le reste s’ensuit : la pe

34 e. Quelques années plus tard, dans une préface au livre de Franz Fanon intitulé Les Damnés de la Terre, Sartre loue sans rése

35 qui est en train de se réaliser. Orwell écrit son livre en 1948. Que s’est-il passé cette année-là ? Au moment même où, sans

36 c’est cela qui lui a suggéré l’idée maîtresse du livre  : l’omniprésence, à tous les moments de notre vie, de la volonté et d

37 u lendemain d’Hiroshima, en conclusion d’un petit livre intitulé Lettres sur la bombe atomique , publié d’abord à New York,

38 res « le Suisse Voltaire » et celui qui signe ses livres  : « Rousseau, citoyen de Genève ». Elle fait des sciences physiques e

39 e la culture, écrivait dans sa préface à un petit livre de moi sur la Suisse 15 : Pays de gens moyens, oui, et Denis de Roug

40 ent (1939), préconise depuis longtemps, dans ses livres et ses interventions diverses, l’union de l’Europe par le fédéralisme

41 pourvus de compréhension du personnalisme que les livres de Senarclens et de Paxton, seules sources, hélas, du petit Bernard-H

42 oblème est très vieux. Il est traité déjà dans le livre biblique des Proverbes 7 en deux versets que j’ai cités dans une rééd

43 s d’un fascisme français étaient définies dans ce livre  ». C’est ainsi que les communistes m’avaient sinon « perçu », du moin

44 ombre et me dit d’entrée de jeu : « Votre dernier livre est un livre dangereux ! J’ai pu le voir, par les réactions d’Elisa !

45 it d’entrée de jeu : « Votre dernier livre est un livre dangereux ! J’ai pu le voir, par les réactions d’Elisa ! » (sa nouvel

46 emble que Breton soit très gêné par votre dernier livre . Trop chrétien, sans doute, à ses yeux. Moi, vous savez… Je crois que

47 er. Deux jours plus tard, je reçois son très beau livre sur Le Surréalisme et la peinture, avec cette dédicace : « À Denis de

48 ite, j’ai lu ce Montaigne en mouvement, ce maître livre , dont je vous parlerai tout à l’heure. Voir plus large, c’est cherche

49 e deux autres thèmes qu’on retrouve dans tous les livres de Starobinski, qu’il s’agisse de littérature, d’esthétique, ou d’ana

50 rations que constituent les sept chapitres de son livre , sur l’amitié, la mort, la liberté, le corps, l’amour, la relation à

51 de ses prolongements politiques, je le dois à ce livre de Staro. Mais il y a plus. Dans les vingt dernières pages du livre,

52 is il y a plus. Dans les vingt dernières pages du livre , intitulées : « Après Montaigne », Starobinski baisse le masque du cr

53 Si vous êtes curieux de notre lauréat, lisez son livre sur Montaigne : c’est le meilleur portrait à ce jour de Jean Starobin

54 portrait à ce jour de Jean Starobinski. Après ce livre , je ne serais pas trop surpris de le voir céder — s’en rendant compte

55 qu’au xvie siècle — et de nous donner un jour ce livre de raison et de sagesse veloutée, dans lequel nous parlant du monde q

56 ui m’avait aussi beaucoup frappé c’était un petit livre de Thomas Mann qui s’intitule Mario et le magicien, où l’on décrit un

57 al pour moi. C’est ce que je développerai dans un livre qui doit être, à mon sens, le plus important de ceux que j’aurai écri

58 vais l’écrire tout de suite après avoir achevé le livre auquel je travaille en ce moment, intitulé Journal d’un Européen, qui

59 mes six années américaines ? J’ai écrit quelques livres , sur la Suisse, sur le diable, et sur la bombe atomique, notamment. M

60 t se répondent les trois thèmes principaux de mon livre  : Écologie, régions, Europe : même avenir. C’est la devise que j’ai p

61 et il semble bien qu’ils l’aient adoptée. Si mon livre a apporté quelque chose de nouveau au débat des idées politiques du s

62 se de l’amour. D’où l’influence multiforme que ce livre continue d’exercer depuis près de quarante ans. Pouvez-vous citer des