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ieu parmi des gens qui écrivent ou qui lisent des
livres
, ou qui savent du moins — ou croient savoir — ce que c’est que d’écri
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ou croient savoir — ce que c’est que d’écrire des
livres
. Ce simple fait suffit à distinguer un tel milieu de « la vie ordinai
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soucis de mon état. Je ne pensais pas en faire un
livre
. Et pourtant ce n’était pas du tout ce qu’on nomme un « journal intim
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les à ceux qui voudraient vivre cette vie-là. Mon
livre
est véridique. Je ne serais donc pas fâché qu’au lieu de le juger bie
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tellectuel en chômage », Bulletin de la Guilde du
livre
, Lausanne, n° 8, août 1937, p. 126-128.
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ore boucler les valises, descendre mes caisses de
livres
à la gare, etc., et le train part dans une heure. Quand la propriétai
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2. Voir la page 140 de l’édition de la Guilde du
Livre
. b. « Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage », Bull
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tellectuel en chômage », Bulletin de la Guilde du
livre
, Lausanne, n° 10, octobre 1937, p. 150-153.
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gemont ». Voici le début de ce libelle : Dans le
livre
si… si… et si… (je supprime des adjectifs élogieux, tout à fait dépla
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rtinence à mon égard : le critique prétend que ce
livre
peut introduire le lecteur « dans un monde où l’on pardonnera aux pou
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s » à tel point que Mme Meylan peut écrire de son
livre
: « Il est difficile d’accumuler plus d’âneries en moins de phrases.
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lant droit au fait, elle distingue à l’origine du
livre
de mon persécuteur la haine farouche de tout ce qui est beau et noble
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ne vieille poule noir », Bulletin de la Guilde du
livre
, Lausanne, n° 8, août 1938, p. 115-117. Précédé du chapeau suivant :
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la vieille poule noire mise en scène p. 92 de son
livre
. Nos lecteurs jugeront eux-mêmes s’il faut voir là une preuve nouvell
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je suis un militaire… », Bulletin de la Guilde du
livre
, Lausanne, n° 9, septembre 1939, p. 131-133.
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let d’aller et retour », Bulletin de la Guilde du
livre
, Lausanne, n° 12, décembre 1939, p. 190-191.
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f. « Beekman Place », Bulletin de la Guilde du
livre
, Lausanne, n° 10, octobre 1946, p. 243-245. Précédé de la note suivan
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rnal des deux mondes qui paraîtra à la Guilde du
Livre
. »
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l. Elle pousse son cheval, le portail cède et lui
livre
passage. C’est une grande femme bottée, sauvage et belle, qui mord un
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’un orage en Virginie », Bulletin de la Guilde du
livre
, Lausanne, n° 11, novembre 1946, p. 282-284.
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h. « Noël à New York », Bulletin de la Guilde du
livre
, Lausanne, n° 12, décembre 1946, p. 295-296.
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tranger. i. « Slums », Bulletin de la Guilde du
livre
, Lausanne, n° 13, janvier 1947, p. 15-16. Précédé de la note suivante
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rochement surprenant Me Duperrier, brandissant le
livre
de Denis de Rougemont, Journal des deux mondes , se lance alors à co
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isme et l’antisémitisme, et cela pour publier mes
livres
sous Vichy, c’est-à-dire du côté d’Oltramare. Ces deux griefs s’accor
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est lui et non pas moi ; et si quelqu’un a vu ses
livres
censurés en Suisse, c’est moi et non pas lui. Avec Tite-Live et son c
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gardez le droit de juger toute cette affaire, mon
livre
en main, selon votre conscience de citoyens de la plus vieille démocr
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r sur un procès perdu », Bulletin de la Guilde du
livre
, Lausanne, n° 12, décembre 1947, p. 326‑328.
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l’amour. k. « Lacs », Bulletin de la Guilde du
livre
, Lausanne, n° 8, août 1948, p. 192-194. Le titre appelle cette note d