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rouvaient au front. D’une phrase, il justifie son
livre
: « Ranimons ces horreurs pour les vouloir éviter, et ces grandeurs p
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Il faut que la paix, ce soit vivre. » Par tout un
livre
libéré de souvenirs héroïques, peut-être trop grands pour la paix, c’
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. Éluard le comprenait, qui écrivit : « Quand les
livres
se liront-ils d’eux-mêmes, sans le secours des lecteurs ? Quand les h
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ntifique, « Prix Goncourt », curieux homme. Il se
livre
à des travaux de précision : il calcule un plan, un poème. Il écrit u
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ision : il calcule un plan, un poème. Il écrit un
livre
sur Einstein, des articles sur Valéry, St John Perse. On le vit naguè
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d’une belle richesse psychologique. En fermant le
livre
on a presque l’impression qu’il a réussi ce grand roman… Qu’y manque-
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re d’ailleurs, il reste que le Tarramagnou est un
livre
émouvant, d’une saine puissance. Il reste que Lucien Fabre a tenté, e
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re de citations à l’appui de ses sophismes, ne se
livre
pas moins à des déductions in abstracto qui le mènent à des conclusio
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pas moins probante. Une œuvre d’art que ce petit
livre
? C’est avant tout une démonstration ; mais, puissante de sûreté et d
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plus pour s’amuser : ni pour amuser un public. Un
livre
est une action, une expérience. Et, le plus souvent, sur soi-même. On
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n vient d’esquisser. Mais on trouve tout dans les
livres
des jeunes, dites-vous, le pire et le meilleur, toutes les vieillerie
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gré des longueurs, on ne lira pas sans plaisir ce
livre
où l’on voit un homme appeler en vain le vent du large, parmi des gen
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vèlera peu à peu le sens divin de la destinée. Ce
livre
à thèse est plutôt une argumentation à coups d’exemples vivants qu’un
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pirations modernes. Voici sans aucun doute un des
livres
les plus représentatifs de l’époque de Lénine, du fascisme, du ciment
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confusions qu’il y décèle. Le meilleur morceau du
livre
est l’essai sur Proust et sa théorie des « intermittences du cœur » d
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ans les positions conquises. Il n’empêche que son
livre
manifeste une belle unité de pensée, et qu’il propose quelques direct
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ntherlant actuel que l’on sent. C’est dire que le
livre
vaut par son allure plus que par des qualités de composition ou de pe
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ant sous les allégories. L’étonnant, c’est que le
livre
soit réellement amusant, et qu’il trouve une sorte d’unité vivante da
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et ne plus aimer ». Closain se tue pour finir le
livre
. Livre charmant et bizarre, où la sentimentalité moderne trouve l’exp
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plus aimer ». Closain se tue pour finir le livre.
Livre
charmant et bizarre, où la sentimentalité moderne trouve l’expression
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ore une vision de l’Occident qui naît de ce petit
livre
si dense, si inquiétant. Le Chinois voit dans l’Europe « une barbarie
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ecenser les incohérences pittoresques de ce petit
livre
. Quant à ceux que certaines envolées magnifiques et hagardes pourraie
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nture, d’un parc public. Ce n’est pas le meilleur
livre
de l’auteur d’Anicet. C’est pourtant un des plus significatifs du rom
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nue sous des dehors trop polis. Une fois fermé le
livre
de Barbey, on oublie la justesse de son analyse pour n’évoquer plus q
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Pourtant, qu’elle ne laisse point oublier que ce
livre
d’une résonance si humaine, est mieux que charmant, — douloureux et d
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s été tentée de lui faire ces confidences qu’elle
livre
si facilement au héros plus confiant et secrètement incertain de ce r
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Bernard Lecache, Jacob (mai 1927)ah Voici un
livre
dur et sans grâces, qui ne manque pas d’une beauté assez brutale, pou
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bientôt considérer toute joie comme illusoire et
livre
l’individu pieds et poings liés à l’obsession qu’il voulait avouer po
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érité audacieuse mais sans bravade qui donne à ce
livre
sa valeur de document humain, nuit à sa valeur littéraire. Je n’aime
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ertains des morceaux très divers qui composent ce
livre
sont bien mauvais, à côté d’autres magnifiquement jetés. Mais cette i
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juillet 1927)am Quand vous avez fermé ce petit
livre
, vous partez en chantonnant le titre sur un air sentimental, bien déc
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vous venger, vous lui dites que, « d’abord », son
livre
n’est pas sérieux. Il sourit. Vous ajoutez que le lyrisme des noms gé
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de Weber… Mais au fait, si vous n’aviez pas lu ce
livre
? Ah ! sans hésiter, je vous ferais un devoir de ce plaisir. Un devoi
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e germanique, il faudra opposer l’excellent petit
livre
d’Edmond Jaloux. C’est un recueil de divers articles et essais, dont
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qui n’ont plus besoin de preuves. Il reste qu’un
livre
comme celui-ci tend un merveilleux piège sentimental à la raison rais
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sco, Catherine-Paris (janvier 1928)aq C’est un
livre
sympathique ; et il vaut la peine de le dire car la chose n’est pas s
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n résultent à la fois le défaut de composition du
livre
et sa richesse. L’enfance de Catherine à Paris est du roman pur ; la
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e manque pas de naturel… On peut regretter que ce
livre
ne réalise pas une synthèse plus organique du roman et des mémoires.
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, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)ar
Livre
passionnant pour tous ceux que Jules Verne passionne. Pour les autres
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ètes. Or Jules Verne fut poète avant tout — et ce
livre
le fera bien voir aux sceptiques. Il a aimé la science parce qu’elle
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ience à la poésie. Et l’on ne veut voir que jolis
livres
d’étrennes dans les œuvres du plus grand créateur de mythes modernes,
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nt donné quelque chose. C’est pourquoi j’ai lu ce
livre
, malgré son premier chapitre, variation sur un mot bien français et s
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drôles ou quelconques. Mais la seconde partie du
livre
est admirable ; il suffit. Le titre ne ment pas ; ce livre traite du
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admirable ; il suffit. Le titre ne ment pas ; ce
livre
traite du style, à coups d’exemples qui méritent de l’être. Et l’on v
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pas forcément prince du rêve ; et par ailleurs ce
livre
sait bien le laisser voir. La qualité de l’illusion dont se nourrit L
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dre habileté du biographe. D’ailleurs, réussir un
livre
attrayant sur une vie manquée n’était pas un problème aisé : Guy de P
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les Supervielle, Saisir (juin 1929)ay Ce petit
livre
de poèmes est comme une initiation au silence. Il faut s’en approcher
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s qui n’est à personne paru l’année dernière — un
livre
assez troublant et qu’on a trop peu remarqué —, Jean Cassou revient à
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ais méchants, et seulement aux dernières pages du
livre
, un peu amers… On voudrait un livre de Cassou qui ne serait fait que
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ères pages du livre, un peu amers… On voudrait un
livre
de Cassou qui ne serait fait que de ces intermèdes ; pur de tout souc
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l’œuvre de Jean Cassou, et singulièrement dans ce
livre
, beaucoup de ces petites merveilles qui valent de gros romans « bien
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imbaud le voyant (août 1929)ba À lire ce petit
livre
et le parallèle qu’il établit entre le yogabb telle que l’enseignaien
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évélé par le truchement de la poésie française. —
Livre
un peu didactique, trop attentif à sa propre démarche, mais inspiré p
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ia de Logan Pearsall Smith — je n’avais pas lu de
livre
où s’exprimât avec une pareille sécurité dans l’insolite, ce qu’il y
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une mère qui souffre, un jeune frère qui rêve. Le
livre
se résout dans une amertume vague. Ceux qui ont lu la Mort difficile
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de M. Jullien du Breuil. L’intérêt de ce genre de
livres
— ils se multiplient — vient, à mon sens, de quelque chose qu’ils exp
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e sur son rocher. Fraîches, sentant bon, avec des
livres
sur des divans aux riches couleurs, des boissons préparées, l’ombre b
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suite des poèmes, ils ne sont pas ce que ce petit
livre
contient de moins bouleversant. bi. « Hölderlin : La Mort d’Empédoc
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ts abordés que par le style des « approches », le
livre
le plus significatif de son tempérament critique. Le style d’abord :