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pales, Esprit et L’Ordre nouveau . Mon premier
livre
publié à Paris, Politique de la personne 1, s’ouvre par un chapitre
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naturelle. L’aveu paraîtra maladroit au seuil du
livre
que voici. Mais faut-il aimer davantage l’espèce d’adresse au jour le
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omme » (expression qui allait faire le titre d’un
livre
de Léon Blum, puis d’un recueil d’articles d’Alexandre Marc). Une po
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est lui-même le fantasme de l’ouvrier3. Tout mon
livre
repose sur l’idée simple de l’incarnation de la pensée, c’est-à-dire
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stes européens organisés. Post-scriptum Un
livre
tout récent, L’Intellectuel contre l’Europe 4, d’André Reszlerc, m’ap
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, résultent toutes ou presque — y compris dans ce
livre
— de l’absence ou de l’oubli d’une distinction fondamentale entre les
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ns les conclusions de son essai, André Reszler se
livre
à la malice de citer au sujet du colonialisme tant décrié par les ant
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rappeler maintenant que Michel Foucault, dans son
livre
Les Mots et les Choses, explique que l’homme au sens moderne ne peut
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S’avance alors M. Michel Debré. III. Sur un «
livre
infâme » Depuis trente ans, M. Debré a beaucoup parlé de l’Europe,
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mier ministre.) M. Debré poursuit : « Son dernier
livre
est dédicacé (sic) à tous les peuples qu’écrase le colonialisme franç
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jamais rien écrit de pareil, ni dans mon dernier
livre
, ici visé, ni ailleurs. Notre coléreux étourdi s’est visiblement trom
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t visiblement trompé de titre.) Conclusion : « Le
livre
infâme de Rougemont » éclaire bien la politique des fédéralistes, laq
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» On notera que M. Debré n’a pas cité le titre du
livre
qu’il se borne à désigner comme mon « dernier livre ». Pour qui s’en
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vre qu’il se borne à désigner comme mon « dernier
livre
». Pour qui s’en étonnerait, voici l’explication. Les Jeunes du RPR,
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me pas leur révéler que ce titre était celui d’un
livre
« infâme ». IV. Vertus et vices selon la religion nationaliste
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traduction en décrets, le cas échéant : taxer un
livre
d’infamie est un procédé typiquement terroriste, au sens précis de la
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nt son référendum. Cette hypothèse trouve dans le
livre
de Jean Mauriac, Mort du général de Gaulle 31 plus de confirmation qu
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son retour définitif à Colombey. Citons ce petit
livre
, dont on comprend si bien que les gaullistes l’aient passé sous silen
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ges Gusdorf, professeur à Strasbourg et son petit
livre
admirable, L’Université en question 42 dont je déduis que l’Universit
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s ces esprits-là. Tout au long de ses deux grands
livres
, De la Littérature et De l’Allemagne, elle le décrit et elle l’illust
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endre pourquoi Napoléon fit saisir et détruire le
livre
dès sa publication en 1810. Mais combien faut-il regretter qu’à l’ouv
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suite une Politique déduite de la culture. Un tel
livre
eût été capable de modifier le débat contemporain sur la fédération e
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itique indissolublement, je ne citerai ici que le
Livre
des Pèlerins polonais, diatribe politique en forme de poème, dans laq
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part pour Paris en 1832. C’est là qu’il écrira le
Livre
des Pèlerins, qui s’adresse en partie à la France. Je cite : Lorsqu
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res. De bons amis m’ont conseillé le silence : ce
livre
ne vaut rien, laissez tomber. Comme si un livre avait besoin d’être b
26
e livre ne vaut rien, laissez tomber. Comme si un
livre
avait besoin d’être bon pour faire du mal ! On va voir ce que celui-c
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ence pathologique de toute trace d’humour dans ce
livre
est l’indicateur le plus sûr d’une disposition d’esprit totalitaire.
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jetés en proie à des méchants », comme on lit au
Livre
de Job58. Douze citations Dans son Idéologie française M. Berna
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sciter”12) » (p. 20-21). La note12) renvoie à mon
livre
Penser avec les mains , paru en 1936, mais cité dans sa réédition de
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’il juge opportun d’attaquer. Car plutôt qu’à des
livres
connus et encore accessibles dans les bibliothèques, voire en librair
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”58) ». Reportons-nous aux pages citées dans mon
livre
. Quelques remarques de forme tout d’abord : — dans « le beau nom de t
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ns avortées » qu’il cite ne figurent pas dans mon
livre
. Et enfin une remarque de fond : — je ne parle pas du tout « d’expéri
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premier chapitre. La dernière figure à la fin du
livre
. Non seulement les personnalistes sont anticapitalistes, donc contre
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domestique voleur, en Chine.) À la page 32 de son
livre
, Lévy s’indigne de ce qu’Emmanuel Mounier lui-même, le « chrétien »,
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aire du 16 mars 1981, Louis Seguin rend compte du
livre
de Lévy et signale les attaques dont il a été l’objet, pour mieux pre
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ne . Cf. p. 346 à 348 de la réédition de ce petit
livre
dans Journal d’une époque , Gallimard, 1968. 67. « Le conflit était
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qu’ailleurs, parce que le nationalisme y chante à
livre
ouvert ses thèmes sacrés, l’absolu de sa primauté sur toute autre ver
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urnes budgétaires pour un total de 2 milliards de
livres
, « alors que le Labour n’avait pas été capable de décrocher un seul p
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quelles définitions ? J’ai lu les 708 pages de ce
livre
, admirablement illustré, et n’y ai trouvé qu’une seule définition de
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formulée en toute rigueur par Jean Bodin, aux six
livres
de La République, dès l’année 1576. Dans cette somme admirable qu’est
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que. Qu’un seul suffise : dans L’Esprit des lois (
Livre
XIXe, chap. XXVII), Montesquieu parlant de l’Angleterre l’appelle en
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ce chapitre est repris des pages 101 à 110 de mon
livre
L’Avenir est notre affaire , paru en 1977. 75. Le titre de sa revue
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mour en Europe. J’ai essayé de le montrer dans un
livre
de jeunesse, que je crois que Hans Mayer connaît, il en a parlé l’an
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ue je dois faire maintenant, c’est terminer douze
livres
dont certains sont en bonne partie écrits, ce sont des thèmes d’essai
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sai que je peux terminer rapidement, et puis deux
livres
très importants pour moi, qu’il faudra que je réécrive presque entièr
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longuement, d’après ce qu’il m’indiquait dans ses
livres
, je les mettais au fond d’une éprouvette, et avec une stupéfaction qu
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sport, j’étais passionné de football, j’ai lu un
livre
de Montherlant qui était à la gloire du football, intitulé Le Paradis
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), que je me suis mis à écrire un article sur son
livre
. Je l’ai envoyé à une revue, la seule revue que je connaissais, qui é
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dinaires, qu’on appelle maintenant dans plusieurs
livres
qui ont paru en France « les années 1930 ». On découvrait la pensée e
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tte théorie-là qui est fondamentale pour tous mes
livres
: l’homme est libre dans la mesure où il est responsable. S’il ne peu
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à fait opposées. Je suis arrivé, en écrivant mon
livre
L’Amour et l’Occident , à mettre cela au clair, en prenant l’exemple
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ns. Dans quelles circonstances avez-vous écrit le
livre
L’Amour et l’Occident ? Eh bien, c’était dans les deux ou trois pre
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pouvait mener. J’ai éprouvé le besoin d’écrire ce
livre
; c’est toujours difficile, après coup, de dire pourquoi. J’ai commen
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scrit d’un jeune colonel français. Il s’agit d’un
livre
qui s’appelle La France et son armée. » L’auteur s’appelait le colone
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ais pas encore écrit une ligne ! Je pensais à mon
livre
tout le temps, mais je n’avais rien écrit. C’est dans un état de fièv
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xtraordinaires que je m’y suis mis. J’ai écrit ce
livre
en trois mois, un gros livre de 380 pages. Vraiment dans un état de t
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s mis. J’ai écrit ce livre en trois mois, un gros
livre
de 380 pages. Vraiment dans un état de transe, car cela supposait une
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idées là-dessus, et en trois mois j’ai bouclé le
livre
qui a paru en 1939, quelques mois avant la guerre. La société d’aujou
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laquelle j’ai consacré non seulement beaucoup de
livres
, mais mon action depuis quarante ans. Sous quelle forme mon action ?
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e permettrait de me retirer et de finir les douze
livres
dont je vous parlais en débutant. Voilà pour mon engagement européen.
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venir ? Denis de Rougemont nous laisse un dernier
livre
: L’Avenir est notre affaire , un livre courageux, percutant, critiq
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dernier livre : L’Avenir est notre affaire , un
livre
courageux, percutant, critiquant violemment les pouvoirs politiques e
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ux véritables exigences de liberté de l’homme. Un
livre
souvent incompris, qui a provoqué en lui un sentiment de solitude et
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e eux, les États ne veulent pas le faire. Je vous
livre
simplement ces chiffres : les Russes sont 260 millions d’habitants, l
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’écrivent souvent, me téléphonent, traduisent mes
livres
. Je sais qu’ils sont plus Européens que beaucoup d’entre nous dans l’
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n suis venu à résumer cette idée dans mon dernier
livre
, à l’avant-dernière page je crois, en une seule phrase : il y a deux