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aucoup pourtant subsistent encore. Or, le nouveau
livre
de M. de Traz1, par les précisions importantes qu’il apporte sur les
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de ses ruses de psychologue. C’est parce que son
livre
, aux petits chapitres à la fois si concis et achevés, n’est ni un alb
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ent sont les œuvres des Orientaux. L’intérêt d’un
livre
comme celui-ci est plus dans l’opposition des deux mondes que dans la
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de tout romantisme pour édifier aucun système. Le
livre
se termine par un voyage à Jérusalem : le christianisme n’est-il pas
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que de M. de Traz diminue l’intérêt vivant de son
livre
: cette impartialité même, cette façon de se placer en face des chose
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nos vies de soucis dégradants. J’ai fait lire ce
livre
à des gens de toutes conditions, « de toutes croyances ou de toutes i
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uelle heure je l’ai terminé cette nuit ». — « Des
livres
comme celui-là, ça aide à vivre ! » Tout le charme profond de Selma L
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t on dirait qu’elle est le vrai sujet de ce grand
livre
. Je ne vous conterai pas « l’histoire ». Cette chronique d’une vie de
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aste. Impraticable : l’écrivain ne touche sur les
livres
que dix pour cent du produit de la vente. Supposez une vente normale
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roduction maladive. Praticable mais néfaste : les
livres
ne payant pas, il faudra faire du journalisme et courir les rédaction
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e voit souvent contraint de refuser les meilleurs
livres
qu’on lui offre, et cela pour les meilleures raisons ! Ou s’il tente
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a-t-on comme premier réflexe d’économiser sur les
livres
, plutôt que sur toute autre distraction, cinéma ou meetings sportifs
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civique de la culture (1er mars 1937)f Si les
livres
se vendent si mal, et si le public ne se rend pas compte de l’importa
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nt les éditeurs, ou même l’État, pour remettre le
livre
en honneur, sont voués à de faibles succès. C’est le sens même de la
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Et c’est pourquoi enfin, j’y reviens, acheter des
livres
et se montrer fort exigeant sur ce chapitre, ce n’est pas seulement «
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les, aux terrasses des cafés de Paris, ou par nos
livres
. Bien plus, le monde moderne tout entier peut être appelé une créatio
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culture en général. Échangeons nos revues et nos
livres
, nos points de vue et leurs défenseurs. Allons voir ce qui se fait ch
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rniers mots sont d’Ernest Ansermet, dans le grand
livre
où il démontre, en somme, qu’un athée ne peut pas faire de musique. P
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dans les parlers locaux » (?). Bien entendu, mon
livre
parle d’autre chose et ne mentionne, en fait de papotages, que des co
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t, tout à fait superflue pour les lecteurs de mon
livre
, m’a paru nécessaire pour ceux qui n’auraient lu que l’article du Sam
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sme utilitaire des plus simplets : voyez le Petit
Livre
rouge. Un mélange grossier, stérile, très contesté. Lorsque les étudi
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e de sa vanité sociale par exemple. Dans un petit
livre
que j’ai écrit en 1946 sur la bombe atomique, je disais en post-scrip
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t , Comme toi-même (ou Les Mythes de l’amour en
livre
de poche), un chapitre de La Part du diable et une brève nouvelle da
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dont l’exemple privilégié reste le couple. Votre
livre
Comme toi-même (ou Les Mythes de l’amour) s’inscrit dans le prolong
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crois mes yeux et les statistiques. Le fait qu’un
livre
comme Love Story ait été tiré à plusieurs millions montre une persist
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ens actif du mot que j’ai défini dans mon premier
livre
, publié à Paris en 1934, Politique de la personne et qui est exacte
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s un peu plus de 17 ans — était une critique d’un
livre
de Montherlant intitulé Le Paradis à l’ombre des épées et dont le thè
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je l’admirais comme adolescent dans les premiers
livres
de Montherlant ? af. « Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils
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et culturelle de l’Europe. À travers ses nombreux
livres
parmi lesquels L’Amour et l’Occident demeure sans doute le plus célèb
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ec une pleine valise de manuscrits en train et de
livres
« à lire en vacances », livres d’amis, reçus depuis des mois, et livr
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its en train et de livres « à lire en vacances »,
livres
d’amis, reçus depuis des mois, et livres qui m’aident à travailler, c
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ances », livres d’amis, reçus depuis des mois, et
livres
qui m’aident à travailler, comme la série des petits volumes d’Après
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t a voulu que je n’arrive à lire qu’un seul des «
livres
d’amis » : le Poisson-scorpion de Nicolas Bouvier, avec le plaisir co
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ire, et de très près, sept ou huit de mes propres
livres
, en vue de traductions nouvelles en anglais, roumain, serbo-croate, e
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s, ou pour des rééditions revues et augmentées en
livres
de poche, à paraître à l’automne, ces tâches bloquant tout, écriture