1 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). De Luther à Hitler (15 mars 1940)
1  » contre la religion totalitaire ? L’auteur d’un livre récent sur l’Allemagne écrit que la nation éduquée par Luther « était
2 l’œuvre et telle que je l’ai décrite en plus d’un livre  ? Certes, on pourra toujours faire jouer la balançoire dialectique :
2 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
3 iculiers se livrant au mal, je voudrais écrire un livre sur la possession diabolique dans les temps modernes, et montrer comm
3 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
4 -ci dans les rues et cafés de Paris, avec un gros livre sous le bras, quêtant la signature des amis de la paix. Il a déchiré
4 1961, La Vie protestante, articles (1938–1978). Bilan simple (29 décembre 1961)
5 e le tiers-monde, copiant ses anciens maîtres, se livre à la passion nationaliste, qui veut la guerre, l’Europe surmonte enfi
5 1965, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Que signifie pour vous la formule célèbre ‟Ecclesia reformata semper reformanda” ? » (29 octobre 1965)
6 un chaos de notes d’âges très divers en vue d’un livre sur le protestantisme, promis depuis longtemps à l’éditeur, et pour l
6 1969, La Vie protestante, articles (1938–1978). La lune, ce n’est pas le paradis (1er août 1969)
7 l’on décidera d’adopter officiellement, dans les livres d’histoire par exemple. Je pense que si on découvre un jour dans l’es
8 hristophe Colomb, mais en sens inverse : dans les livres d’histoire d’aujourd’hui, vous lisez très couramment que si Christoph
7 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
9 (1er décembre 1978)v Vous venez de publier un livre  : L’Avenir est notre affaire . Qu’entendez-vous par ce titre ? Je pe
10 une divinisation de l’homme. S’il y a dans votre livre des passages très pessimistes où vous semblez provoquer la peur du le
11 ou je raconterais des histoires. Si j’ai écrit ce livre , c’est que je prends tout à fait au sérieux l’avertissement d’Isaïe (
12 otre existence en êtes-vous arrivé au thème de ce livre  ? J’ai commencé assez jeune à m’occuper des affaires publiques, des a
13 nt les amorces de toutes les idées de mon dernier livre . Nous étions une génération — qui ne disait pas « bof », oh ! non — q
14 ait rien sur la Suisse, alors j’ai écrit un petit livre intitulé Le Cœur de l’Europe et cela m’a permis de découvrir le fon
15 re des bombes. Tout cela donc fait l’unité de mon livre  : mon souci dernier est d’éviter la guerre nucléaire, vers laquelle t