1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
1 de la culture. Lorsque l’on entreprend de lire un livre qui traite d’un « problème » précis, il est prudent de se demander d’
2 uand il entre chez son libraire pour acheter « le livre dont on parle ». Et voilà, par exemple, une situation qui nous pose u
3 esprit de plusieurs. Si j’entreprends d’écrire ce livre , ce n’est pas pour la joie mauvaise d’inventorier les vices d’une cul
4 nouvelle vocation créatrice. Parti pris de ce livre Cette mise au point me paraît nécessaire pour situer la critique q
5 il le veut. Ce que je veux faire, en écrivant ce livre , c’est chercher les moyens d’action dont l’esprit de l’homme dispose 
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
6 resse, soit par l’école, ou plus rarement, par le livre . En d’autres termes, la culture ne « rend » plus. Elle n’est plus à n
7 6. Il est curieux de noter qu’à la page 36 de son livre , de Man soutient un point de vue tout contraire : « Il faut d’abord a
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
8 par une fin transcendante. 20. La rédaction des livres mosaïques est attribuée par Wellhausen et son école à des disciples d
9 notions philosophiques les plus simples, dans le Livre de Job, dans l’Ecclésiaste, est quelque chose de surprenant. L’image
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
10 rue ; et que les ouvriers se mettent à lire leurs livres , et viennent acclamer leurs discours, au lieu de croire aux sornettes
5 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
11 donner les éléments dans la seconde partie de ce livre . Mais il reste à tirer de notre examen de quelques mesures anciennes
6 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
12 leries à l’adresse des États libéraux. J’écris ce livre et je pose ces problèmes dans l’optique des États libéraux. Qu’on n’e
7 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
13 . Rien n’est plus important pour le dessein de ce livre que d’en suivre le déroulement, non point pour les opposer terme à te
14 it Nietzsche ; dans la rue, et non pas dans leurs livres  ! Et voilà bien l’usage « exquis » qu’on les voit faire des instrumen
8 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
15 es toujours particulières. Mais je n’écris pas ce livre pour poser des énigmes et fatiguer le lecteur à force de paradoxes. J
16 oisir de faire pour sa part, après avoir fermé ce livre . Cependant la question demeure : quel est l’acte que désigne ma formu
17 lle le meut. Si je ne sens pas, à la lecture d’un livre , que l’auteur a dû violenter ses habitudes, ou celles de son milieu,
18 é se condamne à ne rien découvrir, car le réel ne livre ses secrets qu’aux violents qui acceptent ses violences. Ainsi le veu
19 e son frère. 100. « Et l’ange me dit : Prends le livre et avale-le. » Ainsi Jean reçoit le pouvoir de prophétiser. (Apoc. 10