1
de la culture. Lorsque l’on entreprend de lire un
livre
qui traite d’un « problème » précis, il est prudent de se demander d’
2
uand il entre chez son libraire pour acheter « le
livre
dont on parle ». Et voilà, par exemple, une situation qui nous pose u
3
esprit de plusieurs. Si j’entreprends d’écrire ce
livre
, ce n’est pas pour la joie mauvaise d’inventorier les vices d’une cul
4
nouvelle vocation créatrice. Parti pris de ce
livre
Cette mise au point me paraît nécessaire pour situer la critique q
5
il le veut. Ce que je veux faire, en écrivant ce
livre
, c’est chercher les moyens d’action dont l’esprit de l’homme dispose
6
resse, soit par l’école, ou plus rarement, par le
livre
. En d’autres termes, la culture ne « rend » plus. Elle n’est plus à n
7
6. Il est curieux de noter qu’à la page 36 de son
livre
, de Man soutient un point de vue tout contraire : « Il faut d’abord a
8
par une fin transcendante. 20. La rédaction des
livres
mosaïques est attribuée par Wellhausen et son école à des disciples d
9
notions philosophiques les plus simples, dans le
Livre
de Job, dans l’Ecclésiaste, est quelque chose de surprenant. L’image
10
rue ; et que les ouvriers se mettent à lire leurs
livres
, et viennent acclamer leurs discours, au lieu de croire aux sornettes
11
donner les éléments dans la seconde partie de ce
livre
. Mais il reste à tirer de notre examen de quelques mesures anciennes
12
leries à l’adresse des États libéraux. J’écris ce
livre
et je pose ces problèmes dans l’optique des États libéraux. Qu’on n’e
13
. Rien n’est plus important pour le dessein de ce
livre
que d’en suivre le déroulement, non point pour les opposer terme à te
14
it Nietzsche ; dans la rue, et non pas dans leurs
livres
! Et voilà bien l’usage « exquis » qu’on les voit faire des instrumen
15
es toujours particulières. Mais je n’écris pas ce
livre
pour poser des énigmes et fatiguer le lecteur à force de paradoxes. J
16
oisir de faire pour sa part, après avoir fermé ce
livre
. Cependant la question demeure : quel est l’acte que désigne ma formu
17
lle le meut. Si je ne sens pas, à la lecture d’un
livre
, que l’auteur a dû violenter ses habitudes, ou celles de son milieu,
18
é se condamne à ne rien découvrir, car le réel ne
livre
ses secrets qu’aux violents qui acceptent ses violences. Ainsi le veu
19
e son frère. 100. « Et l’ange me dit : Prends le
livre
et avale-le. » Ainsi Jean reçoit le pouvoir de prophétiser. (Apoc. 10