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naturelle. L’aveu paraîtra maladroit au seuil du
livre
que voici. Mais faut-il aimer davantage l’espèce d’adresse au jour le
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ir l’intention générale des essais réunis dans ce
livre
. Je ne me fais aucune illusion sur la portée immédiate de mon effort.
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posent-ils ? Et comment les ai-je abordés dans ce
livre
? C’est ce qu’il me faut indiquer pour finir. I. — Le malheur de l’
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ressort de l’action. La preuve est dans tous les
livres
d’histoire. Les peuples calvinistes ont été les plus « actifs » des t
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ertain. Qu’est-ce que le fascisme ? Dans ce
livre
où je cherche à juger les moyens de la politique du point de vue de s
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ante qu’à l’occasion de tout autre chapitre de ce
livre
, il convient de rappeler sa date : début de 1934. L’hitlérisme ne fai
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) Doctrines et passions Je parle, dans ce
livre
, de philosophie politique et de doctrines sociales ; cela paraîtra sa
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ime social. Enfin l’individu de la Renaissance se
livre
à une activité toute nouvelle : l’expérimentation scientifique libre.
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elles pas sans me gêner. Mais on ne récrit pas un
livre
de ce genre sans lui faire perdre sa vertu de prise de position dans
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tains qui me poussaient malgré tout à publier mon
livre
. C’est ainsi que le numéro de janvier 1946 d’ Esprit nous apprend qu