1 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
1 s là encore il se singularise : il n’écrit pas de livre pour y pourchasser un moi qui feint toujours de se cacher derrière le
2 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
2 que m’ennuyait, indéfinie. (Plus tard, j’ai lu le livre , qui me parut splendide.) Qu’est-ce qu’une ombre ? me demandais-je. Q
3 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
3 e, où d’un coup d’œil furtif j’avais remarqué mes livres , lorsque sa femme entra en nous saluant d’une mélodieuse formule hong
4 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
4 nt l’on demeure surpris. C’est que tout, dans ses livres — surtout les plus sincères — semblait exclure les préoccupations que
5 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
5 e remémorer tout ce qu’il y a d’émouvant dans les livres . Klitte, qui est alsacien, jure que pour tout l’or du monde, une plai