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, avait écrit une Description de la Terre en deux
livres
, dont l’un consacré à l’Europe, l’autre à l’Asie. Que pouvait-il ente
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ote (384-322 av. J.-C.) sur l’Europe se trouve au
livre
VII, chapitre 6, de la Politique : Les peuples qui habitent les pays
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qui crée l’Europe de l’Histoire. 4. Hérodote :
livre
IV, dédié à Melpomène. 5. Nous empruntons la traduction de l’Idylle
4
ntons la traduction de l’Idylle au précieux petit
livre
d’Alfred Lombard intitulé : Un Mythe dans la poésie et dans l’art : l
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iste avant la lettre — qui écrit dans son premier
livre
: Certains Grecs… abordèrent en Phénicie, à Tyr, et ravirent la fille
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eût ignoré qu’il existât ? J. Calmette ouvre son
livre
sur l’Effondrement d’un Empire et la naissance d’une Europe 54 par ce
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n d’être jugées, ainsi qu’il résulte du cinquième
livre
à Nicomaque, où le Philosophe recommande l’interprétation. Nations, r
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a fin du xvie siècle. 82. L’arte della guerra.
Livre
second. Sur l’idée européenne chez Machiavel, cf. l’essai de C. Curci
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mme un impérialiste « gaulois ». Dans l’un de ses
livres
intitulé La République des Turcs (1560), il se nomme au contraire et
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bien public, et quelques uns qui liront ce petit
livre
, m’en sçauront gré, et m’honoreront comme j’espère de leur souvenance
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émoire sur la réparation des chemins. À la fin du
livre
, et sans transition, il écrit : Je finissais de mettre la dernière m
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jets de divers Souverains, au-dessus de dix mille
livres
: les autres procez de moindre conséquence seront décidez à l’ordinai
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artage de la Turquie recensés par Djuvara dans un
livre
qui porte ce titre, Paris 1914. 103. Cf. Chr. L. Lange, op. cit., II
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, qui enseigne les voies ; la seconde, d’un petit
livre
qui apprend ce qu’il y a de curieux en chaque pays. Lorsque nos voyag
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res, ils se munissent en partant de chez eux d’un
livre
blanc, bien relié, qu’on nomme Album Amicorum, et ne manquent pas d’a
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une grande ville du monde. 121. Scienza Nuova,
Livre
V, chap. III, §§ 1089 à 1095. Collection Unesco d’œuvres représentati
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gnie des Indes, ni impôts de trois schellings par
livre
sur son champ et sur son pré, et d’un schelling par fenêtre. Vous pou
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naire intolérance, une politique si sage dans les
livres
et si dure dans la pratique, des chefs si bienfaisants et des peuples
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De l’Esprit des Lois. Firmin Didot et Cie, Paris,
Livre
XXI, chap. XXI, p. 316. 127. De l’Esprit des Lois, Livre XVII, chap
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, chap. XXI, p. 316. 127. De l’Esprit des Lois,
Livre
XVII, chap. Ill, p. 228. 128. Ibid., Livre XVII, chap. V, p. 229-23
21
ois, Livre XVII, chap. Ill, p. 228. 128. Ibid.,
Livre
XVII, chap. V, p. 229-230. 129. Ibid., Livre XVII, chap. VI, p. 230
22
., Livre XVII, chap. V, p. 229-230. 129. Ibid.,
Livre
XVII, chap. VI, p. 230-231. 130. Pensées diverses (Portrait de soi-
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urope ancienne », 1768. 132. Cf. Contrat social,
Livre
III, chap. XV, note in fine (1762). On sait que le Contrat n’est qu’u
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n plus causée par la lutte funeste que la passion
livre
à la passion, la violence à la violence, mais par la douce, persuasiv
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l’Europe, je suis en bonne compagnie. » Dans son
livre
intitulé Du pape 168, publié deux ans plus tard, il n’en définit pas
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le détruire. On s’est demandé si le vrai but du
livre
n’était pas de ramener à l’obédience de Rome l’empereur Alexandre Ier
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de conquête. Chap. XIII : De l’Uniformité. 168.
Livre
II, chap. 2 : « Inconvéniens de la Souveraineté », Paris, 1821. 169.
28
quelques strophes de son grand poème intitulé Le
Livre
des Pèlerins 200 : Lorsque la Liberté siégera dans la capitale du mo
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arler et d’écrire, ont produit leur résultat. Les
livres
, les journaux, les tribunes ont opéré l’apostolat de l’intelligence e
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oit notre déclin. Qu’en est-il, en réalité, de ce
livre
qui a fait époque ? Par son recours effervescent aux analogies planét
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il continue Hegel et préfigure Toynbee. Son grand
livre
est en somme une utopie fondée sur le passé et le présent. Ses exempl
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a Première Guerre mondiale et terminé en 1917, le
livre
de Spengler fut en réalité un ouvrage d’anticipation : il révélait le
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enue confusément. Ses grands hommes et ses grands
livres
lui sont remontés pêle-mêle. Jamais on n’a tant lu, ni si passionnéme
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nce ? José Ortega y Gasset (1883-1955), dans son
livre
le plus fameux, paru en 1930, la Révolte des Masses, traite un problè
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on n’a jamais écrit une histoire de l’Europe. Les
livres
qui portent ce titre, sauf peut-être — et encore — l’admirable ouvrag
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s allemandes parlaient notre langue, lisaient nos
livres
, adoptaient nos modes. Le fait d’une certaine communauté spirituelle
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é d’oubli, mais où l’Europe vit encore par trente
livres
très anciens, et qui ne vieilliront jamais. »277 Ortega avait peut
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oger Dieu contre Dieu. Cette impulsion, partie du
livre
de Job, traverse toute la pensée européenne. C’est cette accusation p
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résocratiques (qu’on peut lire depuis peu même en
livres
de poche) ; vogue des mythes (du complexe d’Œdipe chez Freud jusqu’au
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début du xiiie siècle, César de Heisterbach nous
livre
ce proverbe dont tant de bouches reprendront les variantes jusqu’au x
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n unique, la tension entre les pôles. Elle est le
livre
sacré qui, au cours des millénaires, permit à toutes les possibilités
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hancelier Bacon souhaiterait voir brûler tous les
livres
, « parce que Aristote a été incapable de produire des œuvres qui serv
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ons, les contacts, on peut faire une politique du
livre
, on peut concevoir des journaux internationaux. Tout cela a été tenté
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résumant les développements du chapitre III de ce
livre
, est extrait d’une conférence de Karl Jaspers recueillie dans l’Espri