1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 , avait écrit une Description de la Terre en deux livres , dont l’un consacré à l’Europe, l’autre à l’Asie. Que pouvait-il ente
2 ote (384-322 av. J.-C.) sur l’Europe se trouve au livre VII, chapitre 6, de la Politique : Les peuples qui habitent les pays
3 qui crée l’Europe de l’Histoire. 4. Hérodote : livre IV, dédié à Melpomène. 5. Nous empruntons la traduction de l’Idylle
4 ntons la traduction de l’Idylle au précieux petit livre d’Alfred Lombard intitulé : Un Mythe dans la poésie et dans l’art : l
5 iste avant la lettre — qui écrit dans son premier livre  : Certains Grecs… abordèrent en Phénicie, à Tyr, et ravirent la fille
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Sur plusieurs siècles de silence « européen »
6 eût ignoré qu’il existât ? J. Calmette ouvre son livre sur l’Effondrement d’un Empire et la naissance d’une Europe 54 par ce
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
7 n d’être jugées, ainsi qu’il résulte du cinquième livre à Nicomaque, où le Philosophe recommande l’interprétation. Nations, r
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
8 a fin du xvie siècle. 82. L’arte della guerra. Livre second. Sur l’idée européenne chez Machiavel, cf. l’essai de C. Curci
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — « Têtes de Turcs »
9 mme un impérialiste « gaulois ». Dans l’un de ses livres intitulé La République des Turcs (1560), il se nomme au contraire et
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
10 bien public, et quelques uns qui liront ce petit livre , m’en sçauront gré, et m’honoreront comme j’espère de leur souvenance
11 émoire sur la réparation des chemins. À la fin du livre , et sans transition, il écrit : Je finissais de mettre la dernière m
12 jets de divers Souverains, au-dessus de dix mille livres  : les autres procez de moindre conséquence seront décidez à l’ordinai
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — En marge des grands plans, l’utopie prolifère
13 artage de la Turquie recensés par Djuvara dans un livre qui porte ce titre, Paris 1914. 103. Cf. Chr. L. Lange, op. cit., II
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
14 , qui enseigne les voies ; la seconde, d’un petit livre qui apprend ce qu’il y a de curieux en chaque pays. Lorsque nos voyag
15 res, ils se munissent en partant de chez eux d’un livre blanc, bien relié, qu’on nomme Album Amicorum, et ne manquent pas d’a
16 une grande ville du monde. 121. Scienza Nuova, Livre V, chap. III, §§ 1089 à 1095. Collection Unesco d’œuvres représentati
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
17 gnie des Indes, ni impôts de trois schellings par livre sur son champ et sur son pré, et d’un schelling par fenêtre. Vous pou
18 naire intolérance, une politique si sage dans les livres et si dure dans la pratique, des chefs si bienfaisants et des peuples
19 De l’Esprit des Lois. Firmin Didot et Cie, Paris, Livre XXI, chap. XXI, p. 316. 127. De l’Esprit des Lois, Livre XVII, chap
20 , chap. XXI, p. 316. 127. De l’Esprit des Lois, Livre XVII, chap. Ill, p. 228. 128. Ibid., Livre XVII, chap. V, p. 229-23
21 ois, Livre XVII, chap. Ill, p. 228. 128. Ibid., Livre XVII, chap. V, p. 229-230. 129. Ibid., Livre XVII, chap. VI, p. 230
22 ., Livre XVII, chap. V, p. 229-230. 129. Ibid., Livre XVII, chap. VI, p. 230-231. 130. Pensées diverses (Portrait de soi-
23 urope ancienne », 1768. 132. Cf. Contrat social, Livre III, chap. XV, note in fine (1762). On sait que le Contrat n’est qu’u
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
24 n plus causée par la lutte funeste que la passion livre à la passion, la violence à la violence, mais par la douce, persuasiv
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
25 l’Europe, je suis en bonne compagnie. » Dans son livre intitulé Du pape 168, publié deux ans plus tard, il n’en définit pas
26 le détruire. On s’est demandé si le vrai but du livre n’était pas de ramener à l’obédience de Rome l’empereur Alexandre Ier
27 de conquête. Chap. XIII : De l’Uniformité. 168. Livre II, chap. 2 : « Inconvéniens de la Souveraineté », Paris, 1821. 169.
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
28 quelques strophes de son grand poème intitulé Le Livre des Pèlerins 200 : Lorsque la Liberté siégera dans la capitale du mo
29 arler et d’écrire, ont produit leur résultat. Les livres , les journaux, les tribunes ont opéré l’apostolat de l’intelligence e
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
30 oit notre déclin. Qu’en est-il, en réalité, de ce livre qui a fait époque ? Par son recours effervescent aux analogies planét
31 il continue Hegel et préfigure Toynbee. Son grand livre est en somme une utopie fondée sur le passé et le présent. Ses exempl
32 a Première Guerre mondiale et terminé en 1917, le livre de Spengler fut en réalité un ouvrage d’anticipation : il révélait le
33 enue confusément. Ses grands hommes et ses grands livres lui sont remontés pêle-mêle. Jamais on n’a tant lu, ni si passionnéme
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
34 nce ? José Ortega y Gasset (1883-1955), dans son livre le plus fameux, paru en 1930, la Révolte des Masses, traite un problè
35 on n’a jamais écrit une histoire de l’Europe. Les livres qui portent ce titre, sauf peut-être — et encore — l’admirable ouvrag
36 s allemandes parlaient notre langue, lisaient nos livres , adoptaient nos modes. Le fait d’une certaine communauté spirituelle
37 é d’oubli, mais où l’Europe vit encore par trente livres très anciens, et qui ne vieilliront jamais. »277 Ortega avait peut
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
38 oger Dieu contre Dieu. Cette impulsion, partie du livre de Job, traverse toute la pensée européenne. C’est cette accusation p
39 résocratiques (qu’on peut lire depuis peu même en livres de poche) ; vogue des mythes (du complexe d’Œdipe chez Freud jusqu’au
40 début du xiiie siècle, César de Heisterbach nous livre ce proverbe dont tant de bouches reprendront les variantes jusqu’au x
41 n unique, la tension entre les pôles. Elle est le livre sacré qui, au cours des millénaires, permit à toutes les possibilités
42 hancelier Bacon souhaiterait voir brûler tous les livres , « parce que Aristote a été incapable de produire des œuvres qui serv
43 ons, les contacts, on peut faire une politique du livre , on peut concevoir des journaux internationaux. Tout cela a été tenté
44 résumant les développements du chapitre III de ce livre , est extrait d’une conférence de Karl Jaspers recueillie dans l’Espri