1 , nos idées personnalistes se popularisaient, nos livres et nos revues passaient de main en main. Les événements que nous avio

2 ys qui participèrent aux hostilités : beaucoup de livres de fonds, de classiques, de manuels, n’ont pas été réédités depuis 19

3 n’a pas été renouvelé. Il faut aller chercher les livres des philosophes dans les bibliothèques publiques. Non seulement il es

4 troyées ou non par l’État, pour les journaux, les livres , les revues ; quota de papier alloué ou non à telle maison d’édition 

5 i même pour faciliter tardivement les échanges de livres , de films, d’œuvres d’art, d’étudiants ou de professeurs. Nous réclam

6 es. (Imaginez que dans certains pays, on taxe les livres au kilo, quel que soit leur contenu. Et le reste à l’avenant…) Parace

7 ion scolaire et populaire ; festivals, guildes du livre , et du disque ; agences de presse ; juristes, historiens, sociologues

8 erches nucléaires ; dans l’édition les guildes du livre  ; dans la vie musicale, la vogue des festivals ; et dans l’enseigneme

9 es, aux terrasses des cafés de Paris, ou dans nos livres . Je dirai plus. Le monde moderne en tant que tel peut être appelé une

10 sme utilitaire des plus simplets : voyez le Petit Livre rouge. Lorsque les étudiants chinois protestent, ils le font à coup d

11 sentent la culture européenne — qu’il s’agisse de livres ou de monuments, de tableaux ou de symphonies, de statues ou de danse

12 ables. Trois exemples. — On dit un peu partout — livres , articles et films — que le mouvement pour l’union de l’Europe est né

13  ? J’ai tenté de répondre à ces questions dans un livre intitulé L’Aventure occidentale de l’homme , et je me suis vu amené

14 philosophes les plus sérieux. Bernanos a écrit un livre plein de verve patriotique et prophétique intitulé La France contre l

15 consiste pas seulement à se cultiver, à lire des livres , à écouter des disques, ni même à se préparer pour un jeu à la télévi

16 n jeu à la télévision. Elle consiste à écrire des livres , à composer de la musique, des équations ou des cités, à méditer, à i

17 philosophie. Chacun sait le succès stupéfiant des livres de poche aux États-Unis d’abord, puis en Europe. Ce succès a été rend

18 ce de ceux qui regardent des tableaux, lisent des livres et apprennent une science, mais l’activité créatrice de ceux qui peig

19 , une partition, un monument, on peut acheter des livres , et l’on peut entretenir l’artiste, le penseur et le savant : tout le

20 ? Si je survole d’un coup d’œil l’ensemble de mes livres , jusqu’ici, et cherche leurs principes de cohérence, je vois que j’ai

21 t inconcevable. J’ai montré dans plusieurs de mes livres les conséquences incalculables, sur nos mœurs, de cette interférence

22 e mettez-vous jamais dans la même caisse un petit livre qui dirait pourquoi c’est vous qui avez fait les machines, et non pas

23 le dialogue. De même qu’on ne sait où trouver le livre qui expliquerait la culture européenne aux étudiants venus d’autres r

24 venus d’autres régions, on ne sait où trouver le livre qui expliquerait utilement à l’un de nos « assistants techniques » la

25 s manuels et par les historiens nationalistes. Le livre de Morvan Lebesque, Comment peut-on être Breton ? donne une idée émou

26 se mettant l’un l’autre en question. Mon premier livre paru à Paris s’ouvrait par un chapitre sur « l’engagement du clerc »,