1 1977, L’Avenir est notre affaire. Introduction. Crise de l’avenir
1 es convergents qu’évoque la première phrase de ce livre  : celui de la dégradation des relations humaines dans les grandes vil
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
2 tion des forêts dont on fait nos journaux — et ce livre … Plus de cent ans avant la crise déclarée sous nos yeux, alors que le
3 itées à gauche comme à droite la publication d’un livre au titre délibérément blasphématoire : Limites à la croissance 31. Q
4 ) 16. Sur le concept de commune mesure, voir mon livre Penser avec les mains , 1re partie, publié en 1936, réédité en 1972,
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
5 temps de se reposer, de réfléchir, ou de lire mes livres par exemple. Et s’il était vraiment indispensable de « gagner » trois
4 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Un « Essai sur l’avenir » en 1948
6 désintègrent. Il reste assez d’hommes vivants, de livres , de machines-outils et de connaissances techniques pour maintenir ici
5 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Naissance de la prospective
7 . Et tout cela se résume et se récapitule dans le Livre des Fins révélées, l’Apocalypse. En voici les étapes mémorables. Lent
6 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — L’avenir sensible au cœur
8 de de pensée essentiellement irresponsable que ce livre entend dénoncer : elle voudrait nous faire croire que la société, la
9 siècle, et que je n’ai cessé de risquer dans mes livres  : j’en donnerai plus loin des exemples à propos d’Hitler, notamment.
7 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
10 ns le monde capitaliste. Le succès immense de ses livres , sa popularité universelle, sont signes que l’époque a senti en lui s
11 arence d’utilité publique. » À chaque page de ses livres , on pourrait relever les sophismes plus ou moins conscients par lesqu
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Devenir soi-même
12 vérifiable : c’est l’aliénation primordiale, qui livre l’homme à toutes les manipulations par la publicité, la mode, les par
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
13 lu Jean Bodin. Dans La République, ouvrage en six livres paru en 1576, ce fondateur français de la science politique donne, en
10 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
14 le coup de la critique la plus grave que tout ce livre entend adresser au système de l’État-nation : j’encouragerais la fuit
15 ais aussi de théâtres, d’hôpitaux, de lecteurs de livres et de prix Nobel de sciences. Le sociologue belge, Léo Moulin, a calc
16 de Tocqueville, L’Ancien Régime et la Révolution, Livre II, chap. III. 153. H. Fizbin, député (communiste) de Paris, Le Mon
11 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Que tout appelle les régions
17 un dialecte. Mais les journaux, les revues et les livres , les parlements et les documents officiels sont en Schriftdeutsch.
12 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
18 du concept. Tout ce qu’on a dit jusqu’ici dans ce livre appelle, prépare et qualifie la participation civique. Or, celle-ci i
13 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
19 ville, L’Ancien Régime et la Révolution, 1856. Ce livre , plus actuel que jamais, est aisément accessible aujourd’hui : collec
14 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
20 prématurée, une centaine de pages destinées à ce livre , dont le ton prophétique eût paru plutôt ridicule après coup. Tout le