1
fatigue profonde ; je devins si faible et démuni,
livré
aux regards d’une foule absurde, bienveillante, repue, — tous paraiss
2
’espace nous environnent d’une obscure confiance.
Livrons
-nous aux jeux des hommes-qui-font-des-gestes. Les autos répètent sans
3
bleu vif et ornée de surprenants batiks, il s’est
livré
pendant quelques années à des recherches un peu théoriques et abstrai
4
homme de la Renaissance » chez un Charles Humbert
livré
à sa fougue originale. Il y en a plus encore chez un Aurèle Barraud.
5
même pas, alors : une si belle rose.) Le tambour
livra
un homme élégant et tragique, qui se tint un moment immobile, chercha
6
our un homme retiré du monde depuis si longtemps.
Livrons
-nous plutôt à une petite malice dont l’idée me vient à la vue de cett
7
iscences élémentaires : Ce sont vos contemporains
livrés
à la démocratie des plaisirs achetés au détail dans une foire éclatan
8
yons seules réelles, illusions des reflets qui ne
livrent
que le côté terrestre des choses dont l’autre moitié sera toujours ca
9
Aragon — et je suppose que Beausire et Simond se
livrèrent
à ce petit jeu avant d’écrire —, que voyons-nous en effet ? Une grand