1
té organisée (et mal) contre les « risques-vie »,
livrée
aux basses rigueurs d’un cadre policier. Que vivre soit un choix, une
2
de l’homme sans Dieu », mais la misère de l’homme
livré
à un Dieu qu’il ne connaît pas, parce qu’il ne connaît pas le Christ.
3
ut éviter. Son horreur du malentendu l’entraîne à
livrer
au public treize cents pages d’explications qui menacent d’aggraver l
4
t les « infâmes », contre tous ceux « qui se sont
livrés
à l’impureté, selon les convoitises de leur cœur ». Comparons le Shiv