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homme d’aujourd’hui ne le croit pas. Il croit aux
lois
, et il se veut déterminé. Or il l’est dans la mesure exacte où il l’a
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à nos vies. Alors les règles, les morales et les
lois
qui nous disaient d’agir dans le même temps qu’elles nous privaient d
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, et cet acte devient alors notre chemin et notre
loi
. Ainsi nous ne pouvons connaître que ce que nous prophétisons. Le chr
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prisonnier des formes et des nombres, esclave des
lois
d’un monde sur lequel il devrait régner. Seule peut l’en délivrer la
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autorité de la personne sur l’anarchie et sur la
loi
individuelle. C’est ici qu’on touche au mystère, sans lequel tout ser
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égime politique. Ainsi la mesure n’est plus cette
loi
qui vit en l’homme réel et personnel, cette alliance du peuple avec s
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ur des cultures authentiques. Elle est devenue la
loi
inexorable et mécanique qui plie l’individu à des calculs de masses,
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ssi, son autarchie, et qu’il puisse se donner des
lois
qui ne tiennent plus compte de la crise du monde, et de celle de l’es
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n tourner l’irrationalité foncière à l’aide d’une
loi
statistique, de même la méthode sociologique qui a conduit à la décou
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étrissent (à droite) ou approuvent (à gauche) les
lois
sociales parce qu’ils les qualifient de socialistes, et qui approuver
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(à droite), ou flétriraient (à gauche) les mêmes
lois
si on les qualifiait de fascistes. Alors qu’elles sont, en fait, l’un
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résolue par des mesures de propagande, ni par des
lois
plus ou moins astucieuses. C’est toutes les bases de la culture actue
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tournée se présente comme un séducteur, c’est la
loi
du genre, et cela rend les échanges bien pauvres…) Quand nous nous so
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1930 29 . Tous ceux qui ne bénéficient pas de la
loi
des assurances sociales ont intérêt à assister à la conférence. L’org
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l’État — et cela veut dire : de ceux qui font les
lois
sans rien savoir des situations locales. Parfois ils proposeront quel
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es chemins de fer et l’administration ; faire des
lois
régionales pour la viticulture ; mettre en commun les terres d’un pet
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s de leurs liens éternels, abandonnées aux seules
lois
du Temps. De la polémique antispiritualiste à la doctrine marxiste
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enne, d’autre part la « science » infaillible des
lois
de l’évolution économique, qu’il formule. Je résume et je simplifie c
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t plus qu’à attendre, et à subir en gémissant les
lois
d’un monde qu’il condamne ! Car alors, où serait son refus ? Et quell
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. Tout acte qui contredirait, dans le présent, la
loi
d’amour et de justice, même s’il était commis au nom des intérêts de
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s avec les mêmes inconvénients. Certes il y a des
lois
de l’histoire en ce sens qu’on retrouve les mêmes mécanismes partout
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e. Il vient de Dieu, il va vers Dieu, et c’est la
loi
de Dieu qui l’y conduit. C’est pourquoi son télos (sa fin dernière),
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La mesure Dans l’Arche sont les Tables de la
Loi
. La Loi est la « mesure » sacrée : c’est elle qui rappelle à la fois
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ure Dans l’Arche sont les Tables de la Loi. La
Loi
est la « mesure » sacrée : c’est elle qui rappelle à la fois l’origin
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n de la face de l’Éternel ». Parce qu’elle est la
loi
de Dieu, et que ce Dieu est l’Éternel, la Loi est la conscience final
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la loi de Dieu, et que ce Dieu est l’Éternel, la
Loi
est la conscience finale du peuple hébreu. Et parce qu’elle est la lo
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finale du peuple hébreu. Et parce qu’elle est la
loi
de Dieu — qui définit la vérité —, elle porte en elle la règle perman
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e la mesure est indivisible. Dieu est au ciel, sa
loi
est sur la terre, et les prêtres sont là pour veiller sur l’Alliance.
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prend pour objet de son culte la mesure même, la
Loi
en soi, abstraite des fins pour lesquelles elle existe. C’est l’idolâ
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lus grands rigoristes, les savants docteurs de la
Loi
, ceux que le peuple honorait à peu près comme on le fit plus tard des
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rdinaux : les pharisiens. Condamnant au nom de la
Loi
celui-là même qui l’avait donnée, tuant en Jésus-Christ au nom de la
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lus propre à confirmer cette interprétation de la
Loi
, comme mesure du peuple hébreu, qu’un texte que je trouve dans le plu
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conformes. » Car il n’a pas seulement formulé des
lois
justes, complètes et très détaillées, mais il a veillé à ce qu’elles
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reté pleine de sens et de grandeur qu’imposait la
Loi
d’Israël. Ce que l’on perd et ce que l’on gagne à sacrifier à une « m
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u, se borner au concret, c’est rester fidèle à la
Loi
. D’ailleurs son langage même s’ordonne dès l’origine à cette vocation
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agir. Point d’arts figuratifs ou imaginatifs. La
loi
les interdit par le deuxième et le troisième commandement. « Tu ne te
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e, de demeurer constamment dans l’observation des
lois
et des coutumes de nos ancêtres, parce que c’est une preuve qu’elles
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ns point que ce ne soit Dieu qui nous a donné ces
lois
par l’entremise de Moïse, pourrions-nous, sans impiété, ne nous pas e
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? Chute d’Israël Tout était suspendu à la
Loi
, qui était elle-même suspendue à la promesse messianique donnée par D
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t les juifs l’ont méconnue prenant prétexte de la
Loi
, cette « ombre des biens à venir. » (Héb. 10, 1), pour repousser le C
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qui était « l’esprit » et la réalité finale de la
Loi
. Dès lors, la Loi est « accomplie » comme le dit Jésus-Christ lui-mêm
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it » et la réalité finale de la Loi. Dès lors, la
Loi
est « accomplie » comme le dit Jésus-Christ lui-même, et elle l’est d
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ce, et ce sont ceux qui adorent encore l’ancienne
Loi
, « déclarée vieillie », qui sont maintenant les idolâtres. Voilà pour
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crée des utopies. Sans obéissance, il imagine des
lois
fatales. Sans Messie, il se fait précurseur des messies qui ne viendr
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e la pure tradition hébraïque, représentée par la
Loi
et les Prophètes. L’Église primitive se regardait comme le second Isr
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pécheur que Dieu n’abandonne pas. De même que la
loi
de Moïse maintenait le peuple juif, malgré le péché, dans une économi
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sacerdotales. » — Il est curieux de noter que les
lois
racistes hitlériennes privent de tous droits civiques les personnes q
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se — aurait bel et bien donné les rudiments de la
Loi
au peuple juif dès la sortie d’Égypte. Les prophètes seraient alors c