1 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
1 s, et qu’elle a finalement pris forme et force de loi vers 1848 ; mais ce n’est guère qu’au xxe siècle qu’on s’est mis à l
2 e cent manières différentes. Il est clair que des lois conçues dans un esprit unitaire, jacobin ou totalitaire, brimeraient
2 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
3 re indiquée ici. La vulgarisation de la notion de loi (au sens déterministe et mécaniste que lui donnait la science du sièc
4 bdication des responsabilités personnelles. Les «  lois  » que nous multiplions avec une hâte suspecte dans des domaines encor
3 1949, Articles divers (1948-1950). Le Centre européen de la culture aura son siège en Suisse (7 juillet 1949)
5 u humanistes. Elle avait inventé les armes et les lois , et tous les peuples subissaient l’attrait de ses techniques, de ses
4 1949, Articles divers (1948-1950). La liberté religieuse à l’école (2e semestre 1949)
6 andes de dispense ont été refusées « au nom de la loi  », il est arrivé fréquemment que le directeur d’une école, ou l’inspe
7 adémie, consentissent finalement à interpréter la loi , et à suspendre les poursuites. Mais on constate néanmoins qu’ici ou
8 part des cas une compréhension effective. Mais la loi demeure invariable. Et quel que soit le désir, dont beaucoup témoigne
9 il a envoyé sa fille dans un canton voisin, où la loi paraît plus tolérante. L’instruction primaire de son enfant lui a coû
10 aujourd’hui où cela peut conduire. Danger des lois trop simples Il est clair qu’une législation non pas plus « souple
11 buser. Le premier argument n’est pas sérieux. Les lois pénales décrivent dans le détail des centaines de cas bien plus rares
12 bien plus rares que celui de nos adventistes. Les lois fiscales, les lois sur les loyers et les « surfaces corrigées » s’ing
13 celui de nos adventistes. Les lois fiscales, les lois sur les loyers et les « surfaces corrigées » s’ingénient au-delà du b
5 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
14 ner sur toute la terre, tant par ses armes et ses lois que par l’attrait universel qu’exerçaient ses pouvoirs sur les choses
6 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
15 que les poèmes de Saint-John Perse trouvent leurs lois et leurs cadences : Et c’est par un matin, peut-être, pareil à celui
16 ons lyriques, et l’édification sur table rase des lois d’une cité émergeant de son rêve. C’étaient de très grandes forces e
7 1950, Articles divers (1948-1950). Préface à Le Problème de l’union européenne d’Olivier Philip (1950)
17 ffirmer que l’Économie obéit beaucoup moins aux «  lois  » fatales admises par le xixe siècle qu’elle ne traduit dans ses gra