1 pouvoir d’invention sans égal et d’un système de lois garantissant de mieux en mieux les libertés de la personne. C’est là

2 l’Occident le corps, la psyché, le cosmos et les lois qu’y découvre l’esprit. L’erreur scientiste a consisté à croire que c

3 res préformées de notre esprit, soit avec quelque loi formatrice du cosmos, mais d’illustrer l’instant de leur amour. C’est

4 s ou spirituelles qui demanderaient seulement des lois plus souples. L’uniformisation est sa réponse à tout. Que personne ne

5 t se conduire comme des « individus » sans foi ni loi , au détriment de la grande communauté de civilisation qu’était l’Euro

6 la poche, prêts à tirer, vont essayer de faire la loi en Europe. On parlera beaucoup de « concert des nations », et de « dr

7 es textes, le dévot devient la proie de la triste loi karmique, comme n’importe quel débauché. » Mais la femme, dans tout c

8 onne aisément grande joie à celui qui observe ses lois , dit le premier des troubadours connus, Guillaume, sixième comte de P

9 urut en 1127. Dès le début du xiie siècle, ces «  lois d’Amour » sont donc déjà fixées, comme un rituel. Ce sont Mesure, Ser

10 ”, et donc de nous croire protégés par toutes les lois divines et humaines, comme si le monde où nous vivons était fait à no

11 Perrault : Contes. 17. Montesquieu : L’Esprit des lois . 18. J.-J. Rousseau : Les Confessions. 19. Proudhon : Du Principe féd