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de la Connaissance, si détaché, si versé dans la
Loi
, et si maître de lui qu’il soit, un dieu lui-même ne peut sans le yog
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rticulières, discipline ordonnant l’intellect aux
lois
du réel observé, et le corps à l’action efficace, afin de mieux pénét
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ire un Dieu personnel. L’idée de la « voie » ou «
loi
individuelle » (Svadharma) semble rappeler l’idée de vocation personn
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rément (si elle est le pouvoir de ne pas subir la
loi
d’une puissance étrangère)… Tout cela suppose le développement ou le
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it que le progrès est à l’Ouest, le servage et la
loi
d’airain à l’Est, et qu’une classe ouvrière mieux informée qu’endoctr
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mentation de leurs rapports ; l’égalité devant la
loi
, la liberté de l’individu ou du groupe garantie par la justice (habea
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etc.), la souveraineté nationale et l’idée d’une
loi
internationale… Valeurs : la personne humaine considérée comme invio
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monstrueuses ; il vaut la peine d’en scruter les
lois
et il attend de l’homme d’être compris, révélé, voire sauvé, selon sa
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es, fondant sur l’intérêt et sur le sentiment les
lois
de leur communauté. Il s’agit donc de transférer le pouvoir à quelque
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teurs, les « classes régnantes » au respect de la
loi
nouvelle ? Tandis que le physicien rêve d’une autorité d’ordre moral,
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nementale. Constituée en association régie par la
loi
suisse, elle jouit de la personnalité juridique. Ses ressources sont
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ures : étendre au monde entier ses mesures et ses
lois
, son idée du cosmos et son idée de l’homme. Ou plutôt ses idées sur l
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finées, aient connu pareille fortune. Ce sont les
lois
de Minos, de Dracon et de Solon, venues d’Égypte, le Décalogue et les
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xpression, et qu’elle établit l’égalité devant la
loi
; qu’elle crée une armée fédérale ; qu’elle supprime les péages intér
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la communauté fondée sur l’espérance, non sur la
loi
du sang, essentiellement ouverte et non pas exclusive. Mais les néces
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u à un genre humain totalement « nivelé » par les
lois
de la Liberté : Nous ne sommes pas libres, si un seul obstacle moral
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la réunion d’individus isolés sous l’unité de la
loi
, mais plutôt par la séparation et la division d’une seule grande mass
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ent liés à la guerre par leur naissance et par la
loi
de leur formation historique. Cette liaison nécessaire, Hegel l’a mar
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st ainsi qu’Athènes, Rome et Paris sont pléiades.
Lois
immenses. La Grèce s’est transfigurée, et est devenue le monde chréti
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: démocratie totale ou despotisme absolu et sans
lois
, ce dernier n’étant plus exercé par des dynasties, désormais trop fai
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les pays au moins qui auront subi, à l’Ouest, la
loi
totalitaire nationale-socialiste. L’Allemagne, la France, et l’Italie
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in Constant. 31. Article intitulé le Droit et la
Loi
, 1875. 32. Article intitulé l’Avenir, 1867. 33. Cf. supra p. 9, les
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» et qu’il obéit donc, comme tout individu, à une
loi
de croissance, d’épanouissement et de déclin fatal. Hegel pensait d’a
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es 21 civilisations qui ont existé jusqu’ici, les
lois
complexes mais constantes de leur genèse, de leur croissance, et de l
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t la seule à franchir, s’affranchissant ainsi des
lois
fatales, qui ont entraîné la ruine des autres civilisations, demeurée
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finées, aient connu pareille fortune. Ce sont les
lois
de Minos, de Dracon et de Solon, venues de la Crète et de l’Égypte an
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iques décisives. Elles dépendent, non point des «
lois
de l’économie » dont parlaient Marx et les théoriciens bourgeois de l
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e routière » qui ne fût pas astreinte à suivre la
loi
rigide des voies ferrées et des horaires, mais pût aller à l’aventure
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telles amusettes le système compliqué de leurs «
lois
économiques », et prétendent que ces lois expriment les besoins matér
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leurs « lois économiques », et prétendent que ces
lois
expriment les besoins matériels de l’homme des masses. La vérité est
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s, aux yeux de l’utilitarisme, ce ne sont pas les
lois
de l’économie et encore moins les besoins matériels — quand les 2/3 d
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es touche-à-tout. La brouette, la roulette et les
lois
du hasard, la machine à calculer, ancêtre des cerveaux électroniques,
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a passion, c’est une impulsion qui outrepasse les
lois
et routines de l’instinct, et qui va se heurter aux conventions socia
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de l’expression, car cet acte instinctif, lié aux
lois
du corps, ne mérite pas en soi le nom d’amour. Mais c’est l’amour com
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ens ailleurs, heureux et grand pour l’âme, et des
lois
dont certains indices — nombres, accords, réminiscences — nous laissa
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statut du « grand homme » en Suisse, en vertu de
lois
non écrites, mais très anciennes, le condamne à demeurer à peu près i
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dire de la communauté spirituelle, le règne de la
loi
, le respect général et tacite des institutions, l’éducation publique,
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vocation. Son père le destinait à la science des
lois
, pour la raison qu’elle enrichit ceux qui la suivent, nous dit-il. D
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a grandeur simple, la simplicité grande, sont les
lois
de son existence. Et c’est pourquoi son amitié est un honneur. On n’o