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ictatures, on constate l’existence d’une sorte de
loi
historique : le totalitarisme n’est fort que dans la mesure où le civ
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uiétude du salut. J’ai été attaché avec zèle aux
lois
papistes autant que n’importe qui, et je les ai défendues avec grand
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rs de la pensée n’ont plus aucun rapport avec les
lois
de l’action, une société qui manque à ce point d’harmonie, et où ce m
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car l’histoire et l’économie sont régies par des
lois
inflexibles. Et surtout, au développement formidable et angoissant de
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ulture n’a plus en fait l’initiative, ce sont les
lois
de la production et de la guerre qui imposent leurs nécessités à notr
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é par le droit d’État. Chez les Juifs, c’était la
Loi
de Moïse qui ordonnait toute l’existence dans ses plus minutieux déta
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ations, l’action obéissait spontanément aux mêmes
lois
que la pensée. Mais aujourd’hui que la Loi des Juifs, le droit et la
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mêmes lois que la pensée. Mais aujourd’hui que la
Loi
des Juifs, le droit et la théologie sont méprisés ou ignorés, mainten
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des réalités. Mais des réalités partielles. Si la
loi
qu’on impose à tous est calculée seulement pour certains types, soit
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types, soit physiques, soit sociologiques, cette
loi
est pratiquement une odieuse tyrannie pour tous ceux qui débordent le
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e que l’histoire et la sociologie ont encombré de
lois
fatales. Que peut-il seul, contre ces lois ? Il faut donc, s’il veut
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bré de lois fatales. Que peut-il seul, contre ces
lois
? Il faut donc, s’il veut faire quelque chose, qu’il entre dans un gr
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Comte, et Marx, l’idée que l’Histoire obéit à des
lois
contre lesquelles l’homme ne peut rien. Conception très lugubre, mais
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retraite dans les bibliothèques. Or cette idée de
lois
fatales avait été empruntée à la science, et transportée abusivement
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reconnu, depuis quelques années, que la notion de
lois
tout objectives, de lois absolument indépendantes de l’homme, n’était
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années, que la notion de lois tout objectives, de
lois
absolument indépendantes de l’homme, n’était qu’une illusion rational
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savants nous disent aujourd’hui que les fameuses
lois
scientifiques ne sont en fait que de commodes conventions, dépendant
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logues qui prétendaient décrire objectivement les
lois
rigides de notre société. En vérité, il n’est de lois fatales que là
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rigides de notre société. En vérité, il n’est de
lois
fatales que là où l’esprit démissionne. Toute action créatrice de l’h
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réatrice de l’homme normal inflige un démenti aux
lois
et fait mentir les statistiques. Ainsi les lois de la publicité ne so
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x lois et fait mentir les statistiques. Ainsi les
lois
de la publicité ne sont exactes que dans la mesure où l’homme n’est q
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ent des vrais besoins de sa personne. Il n’y a de
loi
, répétons-le, que là où l’homme renonce à se manifester selon sa voca
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justifient les rigueurs de leur régime au nom de
lois
économiques, ou historiques, ou biologiques. Or il est clair que ces
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toriques, ou biologiques. Or il est clair que ces
lois
ne sont vraies, ou plutôt ne deviennent vraies, qu’en vertu d’une imm
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ble. Notre culture libérée de la superstition des
lois
fatales peut envisager de nouveau d’influencer le monde réel, ramené
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. Invocation (l’assemblée debout). Psaume. II. La
Loi
ou son sommaire (l’assemblée assise) (après la lecture, chant spontan
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après la lecture, chant spontané : « Mon Dieu, ta
loi
est sainte… mais si tu comptes nos iniquités, qui pourra subsister de
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drame chrétien dans son déroulement biblique : la
Loi
d’abord, qui nous condamne, puis la conscience, le péché, la repentan
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ent sa cohésion spirituelle. Il y a là une grande
loi
sociologique qu’on ne peut pas négliger sans risques graves. Tous les
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es de ce statut spécial, qui ne résulte pas d’une
loi
éternelle de la nature, ni d’un commandement de Moïse, ni d’un droit
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elui qui, tout en accomplissant judicieusement la
Loi
prescrite, ne pourra s’empêcher de se poser la Question, celle qui es
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les tribus sauvages, des rituels liturgiques aux
lois
fiscales, des techniques destinées à assurer le bonheur dans le maria
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non pas « naturels », sont des normes et non des
lois
au sens physico-chimique du terme ; et deuxièmement, il n’y a rien de
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pour cette confusion : il ne disposait que de la
loi
mosaïque et de son sommaire, le commandement sur l’amour de Dieu et d
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au degré suprême ; mais ce n’est pas un code, une
loi
, un recueil de règles, et c’est même ce qui devrait permettre de se p
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ce qui devrait permettre de se passer de code, de
lois
, de règles… « Ama et fac quod vis » est sans doute le summum de la mo
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sive à les fonder dans la nature des choses ou la
loi
naturelle, à les assimiler aux « voies de la providence » ou à la « v
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grandes voies publiques, bien que réglées par la
Loi
, ne me servent de rien pour « faire mon salut » comme disait la piété
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aine et générale de l’amour (sommaire de toute la
Loi
), il est clair que le péché en général est de faillir à l’amour, de l