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gue semble disparaître, l’homme s’abandonne à des
lois
géométriques. Un jeu de chiffres d’horlogerie calculé une fois pour t
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oumis plus subtilement encore que son travail aux
lois
d’une offre et d’une demande sans rapport avec ses désirs réels, et d
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nce, abandonné à la lutte tragique et absurde des
lois
économiques et des exigences les plus rudimentaires de son corps. Il
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condition humaine : la liberté de l’esprit et les
lois
de la matière. Pris entre une anarchie et une fatalité également fune
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es tours de la pensée scientifique. Cherchant des
lois
, la science ne peut trouver que des déterminismes. Soumettre l’esprit
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à ses méthodes, c’est en réalité le soumettre aux
lois
de l’ordre matériel ; c’est se condamner donc à ne l’apercevoir que d
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inventions matérielles et déjà nous sentons leurs
lois
peser sur notre vie : s’agit-il d’enrayer la science ? Non, mais que
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hèmes, de la pornographie en outre violations des
lois
divines et humaines, n’eussent vraisemblablement pas fait encourir à
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Bien plutôt, elle est l’expression concrète d’une
loi
divine et humaine, et c’est ici que l’on peut voir sa profonde ressem
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, combien plus amer et noble, du consentement aux
lois
de la vie. Seule épreuve qui permette de nous en libérer. Car au-dess
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parce que c’est mal ou bien, mais en vertu d’une
loi
organique, inéluctable, amorale, tout à fait indépendante de nos appr
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e si Dieu n’était rien d’autre que l’ensemble des
lois
de la nature. Ainsi la conception de la transcendance divine aboutit
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mme autant de réalités autonomes, possédant leurs
lois
propres, échappant à notre domination et poursuivant, en dehors de no
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ue tout ce qui se passe dans le monde obéit à des
lois
générales et historiques qui échappent à notre volonté et sur lesquel
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oethe, sans le savoir, ils nous enseignent que la
loi
seule nous conduit à la liberté. Adhérez au déterminisme de l’histoir
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ens, abstraites. Sur quoi peut bien se fonder une
loi
historique ? Sur ce qui a été fait. Toute loi qu’on découvre dans la
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une loi historique ? Sur ce qui a été fait. Toute
loi
qu’on découvre dans la société humaine repose sur le principe démissi
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ne fût-ce que pour faire mentir le proverbe. Les
lois
générales, économiques ou sociales, sont toujours justes, dans la mes
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endre. ⁂ Destin du siècle ou destin de l’homme ?
Loi
historique ou acte personnel ? Irresponsable ou responsable ? Telle e
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d’être : le prochain. Lorsque les docteurs de la
loi
voulurent éprouver Jésus, l’un d’entre eux se leva et lui dit : Mais
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ole, celle du Bon Samaritain. Et le docteur de la
loi
découvrit cette vérité que toute sa religion n’avait pas pu lui faire
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, qui est au fond de notre désespoir. Les grandes
lois
historiques et révolutionnaires peuvent bien nous servir de refuge, d
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de toutes les valeurs bourgeoises il n’y a pas la
Loi
, ni l’Évangile, il y a tout au contraire une sournoise révolte de l’h
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opinion publique. Que l’histoire évolue selon des
lois
fatales, et que la volonté de quelques-uns n’y changera rien. Que la
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si l’on a d’abord renoncé à l’autre vie ; que les
lois
de l’histoire ne sont rien si l’acte de l’homme les dément ; que la f
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omme ? Une créature. Qu’est-ce que son ordre ? La
loi
du Créateur. Le solitaire que Kierkegaard appelle, c’est l’homme seul
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on. Et toutes les « sciences » qui étudient ses «
lois
» historiques ou sociologiques sont comme une inversion de la théolog
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lus être sujet de son action, qui l’abandonne aux
lois
mythiques de l’histoire. Kierkegaard au contraire nous répète : « La
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tu n’es pas foule, imitation et simple objet des
lois
du monde. La foule attend : si tu la suis, elle te méprisera sans dou
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le doit, il faut qu’il reconnaisse d’abord cette
loi
fondamentale de l’action. En d’autres termes, il faut que son action
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tre part, on n’est pas non plus tyrannisé par une
loi
rigide et uniforme, puisque dans une fédération l’on peut toujours ad
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orsqu’elle n’était pas strictement établie par la
loi
. De même les devoirs de la vocation personnelle ont toujours été mis
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ment l’ambitionnent : sa structure leur dicte ses
lois
. Quant au « grand public » de la droite et aux « masses » de la gauch
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» ; des politologues comme C. N. Parkinson (de la
loi
du même nom), pour qui l’Europe de demain ne sera viable que si elle